Au lycée, Simon voit un garçon, Mick
qui est la proie des moqueries de trois imbéciles. Simon leur dit d'arrêter car
sinon un jour ce garçon risque d'en avoir marre et de débarquer au lycée avec
une arme pour tuer des élèves. Les garçons le traitent de curé et de pasteur. Le
soir, il entend parler de moqueries pendant le dîner et dit que les gens
devraient plus se respecter avant d'aller s'enfermer dans sa chambre. Mick
téléphone pour dire à Simon qu'il a l'intention de tirer sur les garçons. Simon
a peur et appelle le sergent Michaels qui fait sa petite enquête mais ne trouve
rien d'inquiétant dans la vie de Mick. Il demande à Simon d'en parler à son
père. Simon le lui dit et décide de parler devant toute la classe pour dénoncer
ceux qui se moquent des faibles. Eric et le sergent Michaels découvrent un
pistolet dans le casier de Mick.
Robbie voit Ruthie en train de lui
voler ses cookies. Il décide de la surnommer Chouky (choure les cookies) et ça
lui plait assez jusqu'a ce que Lucy lui dise que si Robbie l'appelle comme ça,
c'est pour se moquer d'elle car elle est toujours en train de fouiner. Elle ne
veut plus parler à Robbie et charge Annie de le lui dire. Robbie veut quand même
s'expliquer et dit à Ruthie que Chouky est juste un petit surnom sympa qui les
rapproche car il a toujours voulu avoir une petite soeur. Lucy s'excuse aussi de
l'avoir traitée de fouineuse.
Lucy sent que c'est le moment
d'annoncer à sa mère pourquoi elle a quitté Jeremy. Elle dit que quand on épouse
un homme, on épouse aussi sa famille et que la famille de Jeremy ne l'aimait
pas, et la surnommait mère Theresa à cause de ses études de théologie. De plus,
la famille de Jeremy était trop différente des Camden : ils buvaient, faisaient
la fête tous les soirs, fumaient des joins.
Mary veut passer l'entretient pour
être pompier, elle le dit à Lucy, qui répond qu'elle devrait trouver un métier
plus tranquille dans l'administration. Mary la traite de grand-mère. En allumant
des bougies, Mary met le feu au rideau, elle doit appeler les pompier. Wilson
lui conseille de montrer pendant l'entretien qu'elle a de l'humour car il pense
que c'est important, vu qu'elle sera sûrement la seule femme de la caserne. Elle
s'entraîne à faire des blagues sur le feu. Mais elle est recalée à l'entretien
car ils ont trouvé qu'elle ne prenait pas le métier de pompier assez au sérieux.
Donc elle en veut à Wilson.
Eric apprend qu'une ancienne amie à
lui, Moineau, est à Glenoak pour quelques jours. Annie propose qu'elle vienne
dîner à la maison. Eric sent qu'elle a besoin de son aide pour quelque chose. En
fait, elle aimerait qu'Eric l'aide à pardonner à son père de s'être moqué de son
frère (qui a un pied bot) depuis sa naissance. A cause de ça, son frère a
déménagé et elle le l'a jamais revu et comme son père et mort, elle n'a plus de
famille. Eric lui conseille de tourner la page plutôt que d'essayer de
pardonner. Eric reçoit un homme manchot qui en a assez des plaisanteries
douteuses sur son lieu de travail. En effet, ses collègues se sont amusés à lui
voler sa prothèse. Eric rencontre l'homme qui est le meneur des collègues qui
font des plaisanteries et lui demande d'arrêter ça tout de suite car cela est
plus grave que ce qu'il croit et qu'il risque qu'une plainte soit déposée contre
lui.
Comme une infirmière voit tout le
temps Matt en train d'embrasser Cheryl, elle lui donne le surnom de "lèvres en
feu". Cela ne le dérange pas au début mais le service juridique de la clinique
s'en mêle car il y a un risque de harcèlement sexuel et il est suspendu pour
quelques jours. Cheryl a dit a Simon qu'elle prenait des cours à la fac. Quand
il le dit pendant le dîner, Robbie rie bêtement. Après, il s'en veut et
téléphone à Cheryl pour lui dire qu'il la trouve courageuse de reprendre ses
études. Matt est jaloux de leur complicité. Elle l'appelle à la clinique pour
lui dire qu'elle a repris ces études pour prouver à ses parents qu'elle n'était
pas une blonde idiote, contrairement à ce qu'ils avaient toujours dit.
Annie, toujours tourmentée par la
ménopause, n'en finit pas de pleurer et de se sentir coupable pour un rien. Eric
lui donne le surnom de plaintif.
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