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6.18 "La bague au doigt"



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5.21 : MELI-MELO AMOUREUX

5.21 : MELI-MELO AMOUREUX


ROBBIE TELEPHONE A MARY.

Mary : Tu m’as demandé de revenir et je t’ai dit que je n’étais pas prête.

Robbie : Oui.

Mary : Je suis prête.

Robbie : Quoi ?

Mary : Ah, je voulais te faire une surprise mais toute la famille le sait déjà.

Robbie : Elle sait quoi ?

Mary : Je serai à la maison demain pour tout l’été. Et si ça marche bien, j’y resterai peut-être en permanence.

Robbie : Et que fais-tu de Wilson ?

Mary : Ce n’est qu’un ami. C’est génial, n’est-ce-pas ? Nous allons pouvoir sortir ensemble et habiter au même endroit. En tout cas, dans la même maison pendant trois longs mois.

CETTE NOUVELLE N’A PAS L’AIR DE LE SATISFAIRE.

Mary : Tu n’as pas l’air content.

Robbie : Mais … Je suis content.


JOHN ET PRICILLA PARLENT DE LEUR MARIAGE.

John : J’imagine que tes parents ne viendront pas. Et ils n’ont pas donné de réponses. Je suis désolé… Tu as invité tes parents ?

Priscilla : Ils ne voulaient même pas qu’on se marie.

John : C’était il y a plus de six mois.

Priscilla : Et alors ?

John : Et alors ? Donne-leur une chance. Appelle-les et invite-les au mariage. Ce sont tes parents et mes futurs beaux-parents. Ils devraient être ici avec nous. En tout cas, il faut que tu leur laisses le choix.

Priscilla : Ce serait une erreur de les inviter.

John : Non. L’erreur, c’est de ne pas les inviter.

JOHN ET PRICILLA SOUPIRENT.


SHERIL APERCUT UNE ENVELOPPE À TERRE ET LA DONNE A MATT.

Cheryl : Ca vient de tomber de ton sac, Matt.

Matt : Ah ! Merci.

Cheryl : L’invitation est adressée à Matt Camden et une invitée de son choix. Est-ce que c’est moi ? Est-ce que tu m’amènes au mariage de John ?

Matt : Eh bien, je pensais y aller tout seul.

Cheryl : Parce que tu m’as toujours pas parlé de nous à ta famille.

Matt : Non.

Cheryl : Et est-ce que tu as l’intention de parler de nous à ta famille ?

Matt : Oui.

Cheryl : Quand ?

Matt : Ecoute, je n’en sais rien. Pourquoi faut-il leur dire ?

Cheryl : Parce que j’ai le sentiment que tu me caches, que tu as honte de moi et j’ai l’impression que je ne suis pas présentable.

Matt : Je ne te cache pas et je n’ai pas honte de toi. Tu es très présentable. Seulement, je suis occupé, en ce moment. Quand ça se présentera, je leur dirai. Est-ce que je peux finir mon chapitre ?

CHERYL FAIT OUI DE LA TETE.

Matt : Merci.

ET MATT CONTINUE À ECRIRE.


LUCY ET JEREMY S’EMBRASSENT.

Lucy : Et tu le sais déjà ?

Jeremy : Je te l’ai déjà dit. C’est un gros con. Ne t’inquiète pas.

Lucy (souriante) : Hm !

PENDANT QU’ILS CONTINUENT À S’EMBRASSER, SIMON PASSE, LES REGARDE ET VA À CUISINE OU ANNIE REGARDE SES PLANS.

Annie : Ah !

Simon : Quand est-ce que Jeremy est rentré ?

Annie : Hier soir. Il est en ville pour sa remise d’examen. Il est chez sa tante.

Simon : Je vais voir Deena.

APRES LE DEPART DE SIMON, ERIC ARRIVE.

Eric : Deena et Simon sont de nouveau ensemble.

Rosie : Non, mais depuis qu’elle est revenue chez son père pour passer l’été, ils ont fait ce stupide pacte d’être ami.

Eric : Ce n’est pas parce qu’ils ne sont plus ensemble qu’ils ne peuvent pas être amis.

Rosie : Pff ! T’es vraiment naïf.

HAPPY SE FAIT COMPRENDRE QU’ELLE A FAIM. ROSIE S’EN OCCUPE.

Annie : James Carver, tu sais ? Il est à l’église. Il a dessiné ses plans pour la chambre que je veux construire pour Mary. J’ai déjà commencé hier. Et la Commission s’est réunie aujourd’hui et j’ai obtenu le permis de construire cet après-midi.

Eric : Dis donc, tu crois que ça va marcher, Mary et Robbie, tous les deux, sous le même toit, pendant plusieurs mois ? Et que devient Wilson ?

Annie : Je n’en sais rien. Attendons, on verra bien.

ROBBIE A SURPRIS CETTE DISCUSSION.

Annie : Hm ! James est très gentil. Il a refusé que je lui donne de l’argent.

Eric : Ah oui, c’est très gentil. Surtout qu’on n’en a pas.

Annie (riant) : Hm !

Eric : James est toujours prêt à t’aider pour n’importe quoi, n’est-ce-pas ?

Annie : Jaloux ?

Eric : Non.

Annie : Et qu’y a-t-il, ce soir, dans ton groupe de travail, chéri ?

Eric : La séance de groupe, c’est mercredi. Ce soir, j’ai Serena.

ANNIE, CONSTERNEE, REGARDE ERIC SANS RIEN DIRE.

Eric : Je t’en avais déjà parlé.

Annie : Non, jamais. Depuis quand Serena a-t-elle le privilège de venir en consultation privée ?

Eric : Depuis un moment. Les séances de groupe ne lui convenaient pas. Jalouse ?

Annie : Non.

Eric : Hm !

PENDANT LE DISCUSSION D’ANNIE ET ERIC, ROSIE LES AVAIT ECOUTES DISCRETEMENT.



« « « GENERIQUE » » »



MARY QUITTE BUFFALO POUR SE RENDRE À GLENOAK

Une voix venant du parlophone : Embarquement immédiat, porte numéro 5 pour Los Angeles MARY MONTRE SON BILLET AU GUICHET.

Mary : Merci.

PENDANT CE TEMPS-LA, WILSON CHERCHE MARY ET PARVIENT A LA TROUVER JUSTE AU MOMENT OU ELLE EST CONTROLEE.

Mary (surprise) : Qu’est-ce que tu fais ici ?

Wilson : Je suis venue pour t’empêcher de faire une grosse bêtise.

Mary : Ce que j’ai vécu à New York reste à New York. Et je quitte New york. Fin de l’histoire. Je veux rentrer chez moi.

Wilson : Ah oui ! Mais tu veux surtout rejoindre Robbie ?

Mary : Oui. Oui, parce que je l’aime.

Wilson : Non, c’est moi que tu aimes et moi, je t’aime. Ecoute, peu de gens ont une seconde chance et c’est notre seconde chance. Alors, ne la gâche pas.

Mary : Je suis désolée, Wilson. Je rentre à la maison, un point c’est tout. Fais-en autant et surtout, oublie-moi.

Une voix venant du parlophone : Embarquement immédiat, vol numéro 432 porte A.

Mary (toujours à Wilson) : C’est terminé.

Une voix venant du parlophone : Dernier rappel. Vol 432, les passagers sont attendus porte A.

MARY S’EN VA, CE QUI EMBARRASSE WILSON.


Lucy : J’ai rendez-vous avec Jeremy au Pool Hall.

LUCY S’EN VA.

Rosie : Obsession, du latin Obsidera : idée souvent absurde ou incongrue qui fait irruption n’importe quand dans la conscience et dans le cas de Lucy et de Jeremy, c’est de l’obsession.

Annie : Il n’y a rien d’étonnant à ce que Lucy passe du temps avec le garçon qu’elle aime.

Rosie : Elle le nie. Elle refuse d’admettre la vérité : de la folie.

ERIC ARRIVE.

Eric : Il faut que je travaille sur mon sermon et ensuite, je dois voir Lou pour parler du budget.

ERIC EMBRASSE ANNIE.

Annie : Ah !

Eric : J’ai hâte de voir Mary.

Annie (riant) : Hm ! Hm ! Hm !

PUIS IL EMBRASSE ROSIE.

Eric : A plus tard.

IL S’EN VA.

Rosie : Tu ne savais pas que papa devait voir Serena, ce soir ?

Annie : Non, je ne le savais pas.

ANNIE EST PRETE À TELEPHONER À JAMES CARVER, LORSQUE SOUDAIN, SIMON ARRIVE ET REPART ENSUITE.

Simon : Je vais chez Deena mais je rentre pour dîner.

Annie : D’accord.

EN VOYANT ANNIE TELEPHONER, ROSIE EST INTRIGUEE.

Rosie : Qui tu appelles ?

Annie : James a proposé de m’aider pour le garage et après avoir étudié tous ses plans, j’ai bien besoin d’un coup de main.

Rosie (reprenant le téléphone) : T’en as pas besoin. Je vais t’aider, moi.

Annie : Toi ? Hm … pourquoi ?

Rosie : Parce que tu n’as pas à demander à des étrangers.

Annie : Alors, tu ne veux pas que j’appelle James ?

ROSIE FAIT NON DE LA TETE.

Annie : D’accord, nous allons travailler toutes les deux.

Rosie : Juste nous deux.

Annie : Oui, juste nous deux.


A L’HOPITAL, JOHN ESSAIE DE JOINDRE MATT.

John : Hé, Priscilla et moi, il faut que nous sachions si tu viens seul ou avec quelqu’un. C’est pour le traiteur. Tu t’es décidé d’emmener Cheryl ?

Matt : Ah ! Je n’en sais rien. Personne n’est au courant pour nous deux. Alors, je ne pense pas qu’elle viendra au mariage.

John : Et pourquoi tu n’en as pas parlé à ta famille ? Tu sors avec elle, après tout.

Matt : C’est … c’est un peu compliqué.

John : Tu crois qu’ils ne seraient pas d’accord ?

Matt : Oui, c’est ça.

John : Oh, je t’en prie.

Matt : Ecoute, je n’ai pas envie d’en parler, d’accord ?

MATT S’EN VA. JOHN RIT HAUTEMENT.

John : Ho ! Ho ! Ho !

MAIS CHERYL, DESEMPAREE, AVAIT ENTENDU LA DISCUSSION. DES QU’ELLE A VU MATT PARTIR SANS QU’IL PUISSE LA CROISER. ELLE VA SE DECIDER DE LE QUITTER.


SIMON FRAPPE A LA PORTE DE CHEZ DEENA. ELLE LUI OUVRE.

Deena : Mon petit ami vient de rompre avec moi. Il m’a appelé et il m’a dit qu’il voyait une autre fille.

Simon : Euh … On pourrait sortir ? Je veux dire, sortir de la maison ? De la tienne. On pourrait aller se promener. Euh, pas en amoureux, juste comme deux bons amis.

Deena : Je ne crois pas que je serai d’une agréable compagnie.

Simon : Ta compagnie est toujours agréable. Laisse-toi faire, ça te changera les idées.

Deena : D’accord, donne-moi deux minutes.

Simon (tout bas) : Ouais.

IL ENTRE ET FERME LA PORTE.


ERIC EST SURPRIS DE VOIR ROBBIE DANS SON BUREAU.

Eric : Tiens, tu ne devais pas aller chercher Mary à l’aéroport ?

Robbie : Euh oui. Mais je voulais d’abord vous parler.

Eric : Parle.

Robbie : J’ai parlé avec madame Camden, ce matin et je voulais que vous sachiez que je suis d’accord.

Eric : A quel propos ?

Robbie : Madame Camden pense que Mary et moi, nous ne pouvons pas sortir ensemble tant que nous habitons la même maison.

Eric (étonné) : Annie a dit ça ?

Robbie (faisant oui de la tête) : Et je voulais que vous sachiez que je veux rester habiter chez vous et si cette décision convient à Mary, ça me convient aussi … Ce n’est pas que j’aime ça, enfin le … Je crois que c’est mieux. Mais … j’ai dit ce que j’avais à dire.

Eric : D’accord.

Robbie : Aaah ! Aaah ! Je vais la chercher.

Eric : Ca va, toi ? Parce que t’as l’air bizarre.

Robbie : Ouais, je vais bien. On se retrouve à la maison. Enfin, chez vous. Euh … ma … ma … c’est ma maison aussi maintenant, tant que je laisse Mary tranquille. Au revoir.

ROBBIE PART. SERENA ARRIVE.

Eric (surpris) : Serena ? Hm … on n’a pas de rendez-vous, aujourd’hui.

Serena : Oui, je sais mais j’avais besoin de vous voir pour … une urgence spirituelle … (riant) Hm ! Hm !


AU POOL HALL, LUCY EMBRASSE JEREMY. CELUI-CI TIENT UN PAQUET.

Lucy : C’est arrivé ?

Jeremy : Mes parents m’ont dit que ça venait de New York. Mais je t’attendais. Je voulais qu’on l’ouvre ensemble.

EN OUVRANT CE PAQUET, JEREMY ET LUCY LISENT D’ABORD LA LETTRE CI-JOINTE. LUCY A DU MAL A CACHER SA DECEPTION.


ANNIE EST EN COURSE AVEC DAVID, SAM ET ROSIE. CETTE DERNIERE RENCONTRE UNE ANCIENNE FILLE DE SON ECOLE.

Rosie : Ah, salut Sarah.

Sarah : Salut, Rosie.

Annie : Sarah ?

Rosie : Qu’est-ce que t’as grandi ! On ne dirait pas que t’as le même âge que moi.

Annie : Qu’est-ce que tu fais ici ?

Sarah : Ah ! C’est la boutique de mon grand-père. Je lui donne un coup de main, le samedi.

Annie : Ah ?

Sarah : Je fais un peu de rangement et je l’aide à servir les clients.

Rosie : Génial !

TOUT À COUP, LE GRAND-PERE DE SARA APPELLE SA PETITE-FILLE.

Grand-père : Sarah ? Est-ce que tu peux apporter une boîte de clous pour toiture ?

Sarah (à Annie, Rosie, David et Sam) : Au revoir.

Annie : Au revoir.

SARAH ETANT PARTI, JAMES CARVER ARRIVE.

James : Est-ce que les plans vous ont aidé ?

Annie : Oh, ils me sont très utiles, je vous remercie.

James (à David et Sam) : Hé, salut les bébés. (à Annie) Je suis content de vous rencontrer. J’ai un peu de temps libre et j’aimerais pouvoir vous aider, ou vous prêtez du matériel. Quoi que vous désiriez, si je peux faire quelque chose.

Rosie (avec mépris) : Non merci. Nous contrôlons la situation.

Annie : Rosie, est-ce que tu te souviens de monsieur Carver ?

James : Tu peux m’appeler James.

Rosie : Je crois que je préfère « monsieur Carver ».

JAMES SE MET À RIRE. ANNIE REGARDE ROSIE.


A L’HOPITAL, PRISCILLA PARLE A JOHN.

Priscilla : J’ai appelé mes parents. Non seulement, ils viennent au mariage, mais ils sont déjà ici, à Glenoak. Ils ont conduit toute la nuit. Ils sont chez ma tante. Tout ça, c’est de ta faute.

John : C’est une bonne nouvelle.

Priscilla : Non, non. C’est une très mauvaise nouvelle. Très mauvaise. Mes parent étaient contre l’idée qu’on se marie. Ils sont ici pour empêcher ce mariage.

John : Ma puce, calme-toi. Assieds-toi, j’ai quelque chose à te dire.

JOHN ET PRICILLA S’ASSEYENT. JOHN ESSAIE DE LA RAISONNER.

John : Mon père m’a laissé un message. Et quand je l’ai rappelé, il m’a dit que ma chère grand-mère, celle qui habite dans l’Ouest, était hospitalisée pour faire des examens. Il a pris l’avion pour la rejoindre et … et ma grand-mère compte beaucoup pour moi. J’ai passé toutes mes vacances chez elle à la campagne, lorsque j’avais entre sept et dix-sept ans. Elle m’a aidé à me construire et à trouver ma voie, et je ne peux pas t’expliquer. Mais je n’imagine pas me marier sans elle et mon père ... Je ne sais pas ce que je ferais si jamais les examens ne sont pas bons et que le docteur ne veuille pas qu’elle prenne l’avion.

Priscille (désemparée) : Oh, John !

John : Non. Je pourrais prendre cette situation avec ma grand-mère. Négativement, eh ben, je garde l’espoir et je continue de croire que tout finira par s’arranger. Je choisis d’être positif. Pris, mon bébé, choisis d’être positive, toi aussi. Donne une chance à tes parents et ne perd pas la foi. Parce que je sais qu’ils t’aiment et qu’ils finiront par accepter ce mariage.

Priscilla : D’accord, je vais leur donner une chance.

ILS SE SERRENT DANS LES BRAS.


SIMON ET DEENA PARLENT SUR LA TERRASSE.

Simon : Je peux te poser une question ?

Deena : Bien sûr.

Simon : Qu’est-ce qui t’attirait chez ton petit ami ?

Deena : Hm, eh bien, il est mignon et il a un bon sens de l’humour … Oh, mais il est aussi très intelligent.

Simon : Mais s’il est aussi gentil, pourquoi il a rompu ?

DEENA NE SAIT QUE DIRE.

Simon : Non, je n’aurai jamais rompu avec toi. Et d’ailleurs, ce n’est pas moi, c’est toi qui es partie. Et si tu n’étais pas partie, on sera encore ensemble …J’aimerais bien qu’on soit encore ensemble. Je … on est fait l’un pour l’autre et … et j’aimerais être de nouveau ton copain … et tu peux me passer le fromage ?

Deena : Qu’est-ce que tu as dit ?

Simon : Passe-moi le fromage !

Deena (en lui passant le fromage) : Non, ce que tu as dit avant.

Simon : Ah ! J’ai dit que je t’aimerai toujours.

DEENA ET SIMON SE REGARDENT EN SOURIANT.


CHERYL PARLE À MATT.

Matt (surpris) : Eh ? Qu’est-ce que tu fais ici ?

Cheryl : Je voulais te présenter mes excuses pour hier soir. Je voulais te dire que ce n’est pas bien de ma part de te forcer à dire à ta famille pour nous deux et que finalement, tu n’avais pas besoin de le faire parce que tu tiens à moi.

MATT SE RAPPROCHE DE CHERYL.

Cheryl : Je voulais te dire tout ça, mais j’ai changé d’avis. J’ai pris un café en réfléchissant à ce que je voulais te dire et à la façon dont j’allais te présenter des choses. Et puis, je me suis dit : « Cheryl, pourquoi ne pas lui dire ce que tu as sur le cœur ? » Tu n’es pas l’homme que je pensais que tu étais et je ne veux plus te voir. Au revoir, Matt.

CHERYL, BIEN DECIDEE DE QUITTER MATT, S’EN VA.


AU POOL HALL, JOHN ET PRISCILLA DISCUTENT AVEC LES PARENTS DE CELLE-CI (GENE ET SYLVIA CARTER).

John : Nous sommes très heureux que vous puissiez assister à notre mariage et … et merci de nous avoir invités à dîner.

Sylvia : Non, appelez-moi Sylvia.

Gene : Et appelez-moi Gene.

John : Ha !

Sylvia : Nous devons vous avouez que nous ne sommes pas ici que pour votre mariage.

Priscilla : Je le savais. Je l’ai dit. Ils veulent nous empêcher de nous marier. Ils ne pourront pas nous arrêter. Nous sommes amoureux et nous allons nous marier et ni vous, ni personne ne nous en empêchera.

Gene : Bien.

Priscilla : Qu’est-ce que tu dis ?

Gene : Nous ne voulons pas arrêter ce mariage. Nous voulons vous aider et aussi nous excuser de ne pas être venus plus tôt. Quand j’ai tort, je sais le reconnaître et j’avais tort.

Sylvia : On s’est trompé vis-à-vis de vous, John. Nous pensions qu’il était comme ton premier mari et nous ne voulions pas que tu fasses une autre erreur.

Gene : Et John n’est pas une erreur. Il est même le meilleur garçon que tu n’aies jamais rencontré.

Sylvia : Ta tante nous a souvent appelés et nous a tout raconté à propos de ta vie et … (regardant John) à propos de John.

CETTE DISCUSSION REND JOHN ET PRICILLA TRES HEUREUX.


A L’AEROPORT, ROBBIE ATTEND L’ARRIVEE DE MARY. CELLE-CI LUI SAUTE DANS LES BRAS.

Mary (riant) : Ha ! Ha ! Ha ! Je suis vraiment désolée.

ELLE L’EMBRASSE.

Robbie : Non, c’est ma faute. Je ne m’attendais pas à ce que tu aies une réaction aussi excessive.

Mary : Et pourquoi pas ? Je vais finalement rester à la maison plus d’un week-end et nous allons être ensemble comme tu le voulais depuis si longtemps.

ROBBIE FAIT OUI DE LA TËTE.

Mary : C’est ce que tu voulais, n’est-ce-pas ? Tu m’as appelée et tu m’as demandé de rentrer.

Robbie : C’était il y a longtemps.

Mary : Tu ne veux plus de moi ?

Robbie : Bien sûr que je veux encore de toi.

Mary : Bon. Parce que je crois que nous avons une seconde chance, un nouveau départ. Et cette fois, nous ne ferons plus d’erreur.

Robbie : Troisième …

MARY REGARDE ROBBIE EN FRONCANT LES SOURCILS.

Robbie : Oui, nous étions tous les deux et je t’ai menti. J’ai essayé de t’emmener dans un motel, tu as rompu avec moi : ça fait une. Ensuite, on s’est remis ensemble et tu as découvert que j’étais avec toi et Cheryl et tu as de nouveau rompu : ça fait deux. Alors, c’est mathématique, c’est notre troisième chance.

ROBBIE SE LEVE POUR PRENDRE SA VALISE ET S’EN VA. MARY SE LEVE A SON TOUR.


SERENA PARLE À ERIC.

Eric : Est-ce que vous pourriez être plus précise sur cette urgence spirituelle ?

Serena : Oh ! Je vais essayer d’être le plus claire possible. Alors, l’autre soir, après notre séance, je suis aller manger un petit morceau au Pool Hall et il y avait un type qui n’a pas cessé de me regarder. Ca m’arrive tout le temps avec les hommes. Ils essaient toujours de me draguer … Pas tous les hommes … Pas vous. Il faudrait qu’il y ait plus d’hommes comme vous. Et j’ai peut-être besoin d’aller … plus souvent à l’église.

Eric : Je n’en sais rien. C’est … c’est bien d’aller à l’église, seulement, il ne faut pas y aller pour rencontrer un homme. Vous savez, si un homme cherche à vous draguer au Pool Hall, ce n’est … ce n’est pas un acte spirituel et ce n’est pas non plus une urgence. Pourquoi êtes-vous ici ?

LOU ARRIVE AU MILIEU DE LA DISCUSSION.

Lou (se raclant la gorge) : Hm ! Hm !

ERIC SE RETOURNE ET LOU LUI FAIT COMPRENDRE QU’ERIC DEVAIT AVOIR UNE REUNION AVEC LUI.

Eric : Oh ! J’ai complètement oublié notre réunion de ce soir.

Serena (prenant Eric dans ses bras) : J’y vais. Nous en reparlerons plus tard.

SERENA PRIT SON SAC ET S’EN VA.

Serena : Bye, bye.

Lou : Je … je ne vous considère pas seulement comme mon pasteur, Eric. Vous êtes aussi un de mes amis. Et en tant qu’ami, je … je pense que vous devriez cesser de voir Serena.

Eric : Je ne la vois pas, je suis son conseiller, c’est tout.

Lou : Cette femme a une sacrée réputation. Elle vient souvent vous voir et pas seulement pour vos conseils.

Eric : Laissez-lui une chance. Elle essaie de changer.

Lou : Je n’en crois pas un mot. C’est une femme qui sait ce qu’elle veut. Et dans ce cas présent, que vous acceptiez ou non de le reconnaître, ce qu’elle veut, c’est vous.


LUCY, COMPLETEMENT DEVASTEE PAR LE DEPART DE JEREMY, SE CONFIE A MIKE PIERCE.

Lucy (en pleurs) : Le professeur de piano de Jeremy assiste beaucoup pour qu’il se rende à Juilliard, mais il ne pensait pas être reçu, maintenant qu’il n’est …

Mike : Je ne comprends pas.

Lucy : Jeremy et moi, nous sommes amoureux, nous avons des projets et il devait venir s’installer à Glenoak et nous devions passer les vacances tous les deux et il ne peut plus … Il avait dit oui, alors il veut tenir sa parole. Il veut abandonner Juilliard pour moi.

Mike : Et alors ? Où est le problème ?

Lucy : Mais s’il abandonne cette école pour moi, il le regrettera et un jour, il m’en rendra responsable. Alors je peux l’avoir avec moi, il ne sera jamais heureux. Et si je le laisse partir, c’est moi qui ne serai pas heureuse.

Mike : Et tu ne peux pas partir avec lui ?

Lucy : Mes parents ne me laisseront jamais.

Mike : Je crois que je connais un moyen de réussir à convaincre tes parents.


SIMON VEUT QUE DEENA SOIT PLUS QU’UNE AMIE.

Simon : Je veux briser notre pacte. Je ne veux plus que nous soyons amis …On peut trouver un coin tranquille.

Deena : Mon père travaille à la maison.

Simon : Et la mienne est toujours pleine de monde.

Deena : Nous pourrions aller au cinéma.

Simon : Je n’ai pas envie de voir un film.

Deena : Moi non plus.


MARY EST INTRIGUEE PAR LE COMPORTEMENT DE ROBBIE DEPUIS SON ACCUEIL À L’AEROPORT.

Mary : Qu’est-ce que tu as ? Tu n’as pas dit deux mots sur le chemin de retour. Et tu agis de façon bizarre depuis que je t’ai sauté dans les bras à l’aéroport.

Robbie : J’ai quelque chose à dire. C’est une idée de tes parents, alors ne t’en prends pas à moi.

MARY SOUPIRE.

Robbie : Ta mère et ton père m’ont dit que tant que nous serons sous le même toit, on ne peut pas sortir ensemble.

Mary : Quoi ?

Robbie : J’imagine que c’est une question de respect vis-à-vis d’eux.

Mary : C’est complètement idiot. J’habitais ici avant et nous étions ensemble. Je vais aller parler à mes parents.

Robbie : Non, tu ne peux pas. S’ils le prennent mal, ils me mettront à la porte. Et je n’ai nulle part où aller. Nous pouvons être ami.

Mary : Je ne veux pas être ton ami.

Robbie : Qu’est-ce qu’on peut y faire ? Tes parents ont parlé. C’est leur maison, leur rôle.


ANNIE SE MET À L’OUVRAGE. JAMES ARRIVE.

James : Beau travail.

Annie (surprise): Ho! Ho! Ho! Merci.

James : Je passais par là avec mon camion et j’ai pensé que vous auriez peut-être besoin de madrier.

Annie : Je ne peux pas les accepter, James.

James : Mais vous en aurez sûrement besoin Vous m’avez dit que vous aviez un budget serré, il n’y a pas de petites économies.

Annie : D’accord, merci.

James : Et mon offre de vous aider tient toujours.

ROSIE ARRIVE AVEC HAPPY.

Rosie : Merci mais non merci. Nous contrôlons la situation. Vous pouvez partir.

James : Salut, Rosie.

ROSIE LE REGARDE FROIDEMENT. ANNIE SE MET À RIRE.

James : Je voulais juste vous déposer ces madriers et vous laisser.

Annie : Entendu.

James (regardant Rosie) : Je ne veux déranger personne.

JAMES S’EN VA.

Annie : Rosie, ce n’est pas très gentil de ta part. James ne cherche qu’à nous aider.

Rosie : Oui, il cherche essentiellement à t’aider, toi. T’es aveugle. Il est amoureux.

Annie : Mais James n’est qu’un ami.

Rosie : Tu n’as pas à avoir des amis garçon.

Annie : Oh !

Rosie : Tu es maman.

Annie : Ah !

Rosie : D’accord, je vais lui faire mes excuses.

ROSIE S’EN VA ET N’HESITE PAS A PARLER JAMES CAR ELLE A LE SENTIMENT QU’IL EST AMOUREUX D’ANNIE.

Rosie : Ah ! Vous pouvez remettre votre veste, elle ne viendra pas. C’est moi qui dois venir vous faire des excuses.

Annie : Tu me rappelles ma femme. Elle était comme toi. Pas drôle. Elle disait toujours ce qu’elle pensait vraiment et elle cherchait toujours à nous protéger, moi et ma famille. Et surtout, elle gardait toujours un œil sur tout.

Rosie : Est-ce qu’elle avait beaucoup de souci ? Parce que moi, j’en ai beaucoup.

James : Oui, elle aussi. Elle en a toujours eu. Les ennuis semblaient venir à elle.

Rosie : C’est comme les jumeaux. Alors, si vous avez une femme, qu’est-ce que vous faites ici ? Je sais que vous aimez maman.

James : Ma femme est morte dans un accident de voiture.

Rosie : Ah, je suis désolée.

James : Oui, moi aussi. Je l’aimais énormément. Elle me manque.

Rosie : Comme je l’ai dit, je suis désolée pour votre femme. Et vous avez l’air gentil mais vous n’aurez pas ma mère. Elle est déjà prise.

James : Je sais.

Rosie : Je tenais à ce que ce soit clair.

ROSIE RETOURNE CHEZ ANNIE TANDIS QUE JAMES EST UN PETIT PEU EMBARRASSE DES REMARQUES DE ROSIE.


SERENA TELEPHONE A ERIC.

Eric: Allo.

Serena: Eric? C’est Serena.

Eric : Oui.

Serena : Je sais que c’est beaucoup vous demander mais vous pouvez passer chez moi ? Je voudrais que nous finissions notre conversation.

Eric : Oui. Ca, c’est une bonne idée. On a besoin de parler.

Serena : Alors, vous passerez ?

Eric : Ouais.

Serena : Je vous attends.


MATT ESSAIE DE PARLER À CHERYL.

Matt : Pardon … (à Cheryl) : Faut que je te parle.

Cheryl : Oh non. Nous n’avons rien à nous dire parce que je t’ai entendu. J’ai entendu ce que tu as dit à John. Tu devrais être heureux. Ca a dû être pénible pour toi de sortir avec moi parce que je te faisais honte, c’est pour ça que tu ne disais rien à ta famille. Maintenant, tu es libre d’emmener qui tu veux au mariage de John. Et tu es également libre de sortir avec quelqu’un que tes parents approuvent.

Matt : Tu ne comprends pas, Cheryl. Laisse-moi t’expliquer.

Cheryl : Non. J’en ai assez entendu. Tu devrais partir, maintenant avant que quelqu’un qui connaît ta famille ne nous surprenne … (ne s’adressant plus à Matt) Je suis à vous.


AU POOL HALL, LUCY ACCOURT VERS JEREMY.

Jeremy : J’ai eu ton message. Tu as trouvé une solution à notre problème ?

LUCY FAIT OUI DE LA TETE.

Jeremy : Alors qu’est-ce que c’est ?

Lucy (excitée) : Est-ce que tu veux m’épouser ?

COMME JEREMY NE REPOND PAS, LUCY REPETE.

Lucy : Hou ! Hou ! J’ai dit : est-ce que tu veux m’épouser ?

LUCY ATTEND TOUJOURS LA REPONSE. PLUS TARD …

Lucy : Tes parents sont vite très heureux.

Jeremy : Ils savent ce que j’éprouve pour toi.

Lucy : C’est une bonne idée de se marier ?

Jeremy : Oui. C’est notre seule chance de rester tous les deux. On ne va pas la gâcher.

Lucy : Nous allons le dire à mes parents.

Jeremy : Oui, mais d’abord, on va faire le premier pas.


ROSIE VOIT SA MERE EN TRAIN DE TELEPHONER.

Rosie : Qui tu appelais ?

Annie : Eh bien, lorsque James est passé, il a oublié des plans. J’ai pensé qu’il pourrait peut-être en avoir besoin. Alors, je lui passe un coup de fil afin qu’il vienne les reprendre.

Rosie (soupirant): Aaah ! C’est inconcevable. Il les a sûrement laissés exprès.

Annie : Quoi ?

Rosie : J’ai vu Matt et Mary, Lucy et Simon. Et à chaque fois, ils laissent toutes des affaires chez leurs petits amis. Et à chaque fois, ce sont des filles ou des garçons qu’ils veulent revoir. Ce serait plus simple de leur dire « Est-ce que tu veux sortir avec moi ? » au lieu de laisser chez eux, un livre, une chemise, un cartable ou des … plans. Réveille-toi, maman. Ce type en pince sacrément pour toi.

ANNIE ECOUTE ROSIE QUE D’UNE OREILLE. ELLE TELEPHONE A JAMES ET TOMBE SUR LE REPONDEUR.

Le répondeur : Vous êtes chez James, laissez-moi un message.

Annie : Bonsoir, James. C’est Annie Camden à l’appareil. Je crois que vous avez oublié des plans, alors je voulais vous dire que vous pouviez passer les reprendre, d’accord ? Au revoir.

ANNIE DECROCHE.

Rosie (désespérée) : Je sais parfaitement de quoi je parle, mais personne ne m’écoute.

PUIS VIENT LE RETOUR DE MARY À LA MAISON.

Mary : Salut, c’est moi. Je suis de retour.

Rosie (excédée) : Aaah ! Ca y est. La ligne téléphonique va être de nouveau occupée.

Annie (prenant Mary dans les bras) : Oooh ! Je ne savais pas que vous étiez revenue. Bienvenue à la maison.

Mary : Mais qu’est-ce qui se passe ici ? Personne n’est là.

Annie : Eh bien, Rosie et moi, nous étions en train de travailler dans le garage. Tout le monde est sorti. Ils rentrent tous pour dîner y compris Lucy et son nouveau petit ami.

Mary : Tu me fais une chambre dans le garage ?

Annie (faisant oui de la tête) : Hm ! Hm !

Mary : C’est parce que toi et papa, vous voulez être sûr que Robbie et moi, nous soyons le plus loin possible.

Annie (choquée) : Hmm !

Mary : Robbie m’a dit que je ne devais pas vous en parler à toi et à papa. Où est-il ?

Rosie (répondant à la place de Mary) : Probablement avec sa petite amie.

ANNIE EST CHOQUEE PAR L’INDISCRETION DE SA FILLE.

Annie : Ton père est à l’église.

Rosie : Ouais, avec sa petite amie.

Mary : Papa a une petite amie ?

Rosie : Serena.

Annie : Non, il n’en a pas. Et qu’est-ce qu’il y a ?

Mary : Eh bien, c’est à cause de ce que tu as dit à Robbie.

ROBBIE ARRIVE SOUDAINEMENT.

Mary (regardant Robbie et s’en allant) : N’y pense plus.

Robbie : Je vais à la boutique chercher ma paie. Besoin de quelque chose ?

Annie : Non, je te remercie.

APRES LE DEPART DE ROBBIE …

Annie : Mais qu’est-ce qu’ils ont, tous les deux ?

Rosie : Tu ferais mieux de t’occuper de ton petit ami à toi.


AU CINEMA, DEENA EST EN TRAIN D’EMBRASSER SIMON.

Simon : C’était une bonne idée ?

Deena : J’aime bien ce film.

Simon : Mais, moi aussi. C’est le plus beau film que j’ai vu cette année.

Deena : Oh oui. Mais, c’est fini.

Simon : Je crois qu’il faut partir.

Deena : Et si on le regardait encore ?

Simon : Hm, d’accord.

DEENA EMBRASSE DE NOUVEAU SIMON.


ERIC PARLE AVEC SERENA DANS SA MAISON. ELLE SE SERT DU VIN.

Eric: Alors?

SERENA RICANE.

Eric : Qu’est-ce qui vous arrive ?

Serena : Rien.

Eric : Si nous ne parlons pas, je n’ai pas de raison de rester. Nous pourrons nous revoir à la prochaine séance.

Serena : C’est mon anniversaire.

Eric : Joyeux anniversaire.

Serena : Ce soir, c’est mon quarantième anniversaire et … et très franchement, c’est ça, mon urgence. Je suis toute seule. Ashley est avec son père. Je n’ai pas beaucoup d’ami et depuis que nous avons commencé nos séances, je ne veux pas sortir avec des hommes que je connais mal. Je n’ai pas envie d’être seule aujourd’hui et je ne sais pas qui appeler.

Eric : Je crois que vous commencez à devenir un peu trop dépendante de nos conversations.

Serena : Vous pouvez être mon conseiller et mon ami ?

ERIC NE SAIT QUE DIRE.

Serena : Restez, s’il vous plait. J’ai acheté des grillades et du homard. Et bien sûr, je ne sais pas allumer le barbecue.

Eric : Ma fille Mary vient de rentrer aujourd’hui et …

Serena : Alors, aidez-moi seulement à allumer le barbecue avant de partir, s’il vous plait.

ERIC NE SAIT QUE DIRE.

Serena : S’il vous plait, ne me laissez pas seul.


MARY DISCUTE AVEC ANNIE. ELLE VEUT SAVOIR POURQUOI CETTE DERNIERE REFUSE QU’ELLE SORTE AVEC ROBBIE.

Mary : Ecoute, j’ai promis à Robbie que je ne dirais rien mais je veux savoir pourquoi vous ne voulez pas que je sorte avec lui. J’ai laissé beaucoup de chose à New York pour passer l’été avec lui.

Annie : Mais de quoi tu parles ?

Mary : Vous avez dit à Robbie que vous ne vouliez pas qu’on sorte ensemble.

Annie : Oui, c’est exact. Ca me met mal à l’aise que toi et Robbie, vous viviez sous le même toit, mais non, je ne lui ai jamais interdit de sortir avec toi, et je suis sûr que ton père n’aurait jamais fait une chose pareille sans m’en avertir.

Mary : Mais pourquoi est-ce que Robbie ment ?

Annie : C’est à lui que tu devrais le demander.

MATT ARRIVE CHEZ ANNIE ET ROSIE. IL PREND MARY DANS SES BRAS.

Matt : Hé, Mary ! Bienvenue.

Mary : Oui, merci.

Matt : Non, non, je suis content que tu sois là. J’ai quelque chose à vous dire. Je veux que vous le sachiez tous. Je sors avec Cheryl, l’ex-petit ami de Robbie.

Mary : C’est super ! Si vous voulez bien m’excuser, je dois trouver Robbie.

MARY S’EN VA.

Matt : Ecoutez, je veux que tout le monde sache que je sors avec Cheryl.

Rosie : Je dois être un peu fatiguée, je ne l’ai pas vu arriver, celle-ci.

Annie : Tu as dit que tu sortais avec Cheryl ?

Matt : Oui, je sais, j’aurais dû vous le dire plus tôt, mais je n’en ai pas eu l’occasion. Je l’aime bien et j’espère que vous lui donnerez une chance. Où sont papa et Lucy et Simon ?

Rosie : Ils sont sortis. Ils rentrent pour dîner.

Matt (énervé) : Mais j’ai besoin que toute la famille sache pour Cheryl.

Rosie : Tu devrais laisser une note sur le frigo.

Matt : Bonne idée, merci.

MATT S’EN VA.


LE BIJOUTIER DONNE LA BAGUE DE FIANCAILLES À JEREMY QUI LA MET AU DOIGT DE LUCY.

Lucy : Oh ! C’est vraiment génial.

Jeremy : Quoi ? La bague ?

Lucy (le frappant) : Non. Notre amour et notre engagement.

Jeremy : Ouais. Ouais, c’est pour toi.

LUCY EST TRES HEUREUSE. JEREMY ET ELLE S’EMBRASSENT.


JOHN ATTEND UN COUP DE FIL DE SON PERE.

John (décrochant le téléphone) : Ah, papa. Ah … Euh, j’attendais ton appel. Comment elle va, grand-mère ?


JAMES FRAPPE A LA PORTE.

Annie (ouvrant la porte à James) : Bonsoir … Vous êtes très élégant.

James : J’avais prévu d’aller dîner avec quelqu’un mais cette personne s’est décommandée.

Annie : Entrez, James.

JAMES ENTRE.

Annie : Une amie-phare ?

James : Non. Et je ne suis pas encore prêt pour ça. C’est beaucoup trop tôt.

Annie : Oui, je comprends. Et puisque vous êtes passé, est-ce que vous voulez rester dîner avec nous ?

James : Oh, je ne voudrais pas vous déranger.

Annie : Ecoutez, je nourris huit personnes chaque soir, alors une de plus ne me dérange pas.

James : Je veux bien rester à une condition : laissez-moi vous aider à aménager le garage.

Annie : C’est beaucoup plus de travail que je ne le pensais.

James : Après le dîner, j’irai jeter un coup d’œil. Peut-être qu’un de mes gars pourrait vous aider.

Annie : Pourquoi faites-vous tout ça pour moi ?

James : Je ferais n’importe quoi pour vous. N’importe quoi.

Annie (haussant les épaule) : Alors, vous pouvez mettre la table. La salle à manger est par là. Je vais vous aider mais d’abord, il … il faut que j’appelle Eric.

ALORS, ANNIE TELEPHONE A ERIC. DU COTE DE CHEZ SERENA, ALORS QU’ERIC EST EN TRAIN DE PRENDRE L’AIR, CELLE-CI ETEINT DISCRETEMENT SON BEEPER..


MARY ENTRE CHEZ ROBBIE.

Mary : Ma mère et mon père n’ont jamais dit qu’on ne devait pas sortir ensemble. Pourquoi tu m’as menti ?

ROBBIE NE REPOND PAS.

Mary : Parle-moi. Je veux savoir ce qui se passe.

Robbie : Dans le passé, lorsque les choses n’allaient pas entre nous, je rentrais chez moi. Maintenant, si nous nous remettons ensemble et si ça ne marche pas chez moi, c’est chez toi. Et si l’un de nous doit s’en aller parce que c’est trop difficile de vivre ensemble, ce ne sera pas toi, ce sera moi. Je risque beaucoup plus que toi

Mary : Qu’est-ce que je dois comprendre exactement ?

Robbie : Mary, j’ai beaucoup plus d’expériences. J’ai déjà eu des relations d’adulte, j’ai vécu avec une femme. Je sais ce que c’est que d’avoir des relations physiques avec une femme et … et nous, on n’en a pas eu. Je ne vais pas sortir et trouver quelqu’un d’autre. Et je vais faire ce sacrifice pour toi.

Mary : Et je peux savoir ce qui te fait penser que je n’ai jamais eu de relation d’adulte ou de relation physique avec un homme ?

Robbie (riant) : Ha ! Ha ! Ha ! Euh, je le sais

Mary : Je vis à New York depuis novembre dernier et je vais te dire que j’ai eu des relations d’adulte.

Robbie : Peut-être que c’est le terme « relation adulte » qui te gène. Ce que je veux dire …

Mary : Je sais ce que tu veux dire. Et je sais ce que veut dire adulte et relation.

ROBBIE ECOUTE MARY. PLUS TARD …

Robbie : Je ne te crois pas.

Mary : D’accord, tu ne veux pas me croire mais c’est arrivé.

Robbie : Comment c’est arrivé exactement ?

Mary : Eh bien, quand un homme aime une femme, il se passe certaines choses biologiques et …

Robbie : Je sais ce qui se passe et comment c’est arrivé entre toi et ce type ?

Mary : Oh ! Je l’ai rencontré sur un quai de gare et on a échangé nos numéros. Je lui ai dit de m’appeler s’il venait à Buffalo. Il vivait à New York avec sa famille. J’avais passé une très mauvaise journée. Rien n’allait comme je le voulais. Une de mes amies avait été accepté dans l’équipe de joueuse de basket-ball et … et moi, j’avais raté les tests et … et j’avais pas été prise et puis, il m’a appelé et il m’a demandé si je voulais visiter la ville avec lui. Ses parents n’étaient pas à la maison et on en a profité. Alors, j’ai pris un train pour le rejoindre et nous nous sommes retrouvés et ce qui devait arriver, arriva. Voilà, c’est tout. D’accord ? Tu n’es pas le seul qui ait eu des relations adultes.

Robbie (incrédule) : Tu mens. Tu n’as jamais fait ça.

Mary : J’ai fait ça.

Robbie : Et … Et qu’est-ce qui s’est passé ensuite ?

Mary : Je ne l’ai jamais revu. Il m’a dit qu’il avait une petite amie et je ne me sens pas très fière de ce que j’ai fait mais c’est arrivé. Et peu importe que tu me crois ou pas, parce que ça ne change rien au fait que je l’ai fait.

Robbie : Et quel est le nom de cet homme ?

Mary : Jeremy.

Robbie : Je ne te crois pas, Mary. Tu n’as pas passé la nuit avec un inconnu que tu as rencontré sur un quai de gare.

ROBBIE EST EMBARRASSE.


MATT FRAPPE A LA PORTE DE CHERYL. CELLE-CI LA LUI REFERMA AU NEZ.

Matt (hurlant) : J’ai dit à tout le monde que nous étions ensemble.

Cheryl (ouvrant la porte) : Pourquoi tu as fait ça ?

Matt : Tu n’as pas l’intention de me faciliter la tâche, c’est ça ?

Cheryl : Non.

Matt : Je suis désolé. Tu … tu ne veux pas me laisser une seconde chance ?

Cheryl : Et si jamais ta famille ne m’acceptait pas.

Matt : Je m’en fiche.

Cheryl : Tu leur as vraiment dit ?

Matt (faisant oui de la tête) : Et ça me ferait plaisir que tu m’accompagne au mariage.

Cheryl (souriant) : J’aurais voulu dire non mais je ne peux pas.

MATT ET CHERYL FINISSENT PAR S’EMBRASSER.

Cheryl : Est-ce que tu veux que nous dînions ensemble ?

Matt : Non, je n’ai pas très faim.

Cheryl : Ca tombe bien. J’ai déjà mangé.

Matt : Oui, mais tu … tu viens de m’inviter à dîner avec toi.

Cheryl : Non. Je viens de t’inviter à entrer. Est-ce que tu veux entrer ?

Matt : Oui, mais j’ai … j’ai pas fait pour ça. Si j’ai décidé de parler de toi à ma famille, c’est pas pour obtenir tes faveurs.

Cheryl : Je sais.

Matt : Mais il y a deux nuits, nous avions cassé.

Cheryl : Mais maintenant, on est ensemble. Et je t’aime beaucoup. Et je veux que notre relation devienne plus sérieuse.

Matt : Plus sérieuse, ça veut dire …

Cheryl : Oui.

Matt (tout bas) : Oui.

Cheryl : Alors, tu te décides ?


EN DESCENDANT DES ESCALIERS, ROBBIE ET MARY SE DISPUTENT.

Robbie : Non, tu ne l’as pas fait.

Mary : Si, je l’ai fait.


SERENA TOMBE SOUS LE CHARME D’ERIC.

Eric : Je suis déjà resté beaucoup trop longtemps. Annie ne sait pas que je suis là.

Serena : Oh, Lou a appelé pendant que vous étiez dehors. Annie l’avait appelé et … il lui a dit que vous étiez passé chez moi, alors euh, vous pouvez rester.

Eric : Je pense que vous devriez consulter quelqu’un d’autre.

Serena : Je ne veux pas quelqu’un d’autre, je vous veux, vous.

Eric : Je suis marié … et je suis votre pasteur.

Serena : Je ne vous demande pas de m’épouser.

Eric : Que me demandez-vous ?

Serena : Oh, je crois que vous le savez. Je pense que c’est pour ça que vous êtes ici. Et c’est aussi pour ça que vous restez.

Eric : Je reste parce que vous me l’avez demandé.

Serena : Ca fait des semaines que j’attends que vous fassiez le premier pas, Eric. Et je n’en peux plus d’attendre … Je vous désire et je sais que vous me désirez. La question qui se pose est « Etes-vous prêt à le faire ? ». Alors, vous l’êtes ?


ARRIVANT AU REZ DE CHAUSSEE, MARY ET ROBBIE SE DISPUTENT UNE NOUVELLE FOIS EN REPETANT LES MEMES PHRASES.

Robbie : Non, tu ne l’as pas fait.

Mary : Si, je l’ai fait.


SIMON RACCOMPAGNE DEENA CHEZ ELLE. TIM, SON EX-PETIT AMI L’ATTENDAIT.

Tim (à Deena) : Où étais-tu passée ? Ca fait des heures que je te cherche.

Deena : Je suis allée faire un tour.

Simon : Salut, je m’appelle Simon.

Tim : Je suis un de ses amis.

Simon : Mais encore ?

Tim : Je suis Tim, le petit ami de Deena.

Simon : Et tu veux dire son ex-petit ami ? Deena m’a dit que tu avais rompu.

Tim : Hem, c’était une bêtise.

Simon : Et c’est trop tard. Elle ne veut plus de toi. Elle veut quelqu’un qui s’occupe d’elle. Elle me veut, moi.

Tim : Alors, qu’est-ce qu’on fait ? Je suis venu pour te faire des excuses. Alors maintenant, je m’excuse. Je suis un idiot. Excuse-moi … Alors tu es ma petite amie, oui ou non ?

DEENA NE SAIT QUE DIRE, SIMON LA REGARDE.

Simon (à Deena) : Ouais, tu es la sienne ou tu es la mienne ?


LES PARENTS DE PRISCILLA A TOUT PREVU POUR SON MARIAGE. PRISCILLA N’EN REVIENT PAS. ELLE ENTRE DANS LA CHAMBRE POUR EN PARLER À JOHN.

Priscilla : C’est vraiment insensé. Mes parents sont arrivés depuis moins de vingt-quatre heures et ils ont déjà tout organisé pour notre mariage : ma robe, le gâteau, le menu, la réception et les fleurs. Finalement, la seule chose qu’ils nous ont accordé, c’est que ton père nous marie dans son église. Normalement, j’aurai dû me battre pour ça aussi. De toute façon, je savais ce qui allait arriver. Mais j’ai décidé d’être positif comme toi. Et je vais leur laisser organiser ce mariage parce que ce qui compte, c’est qu’on soit marié.

John : Je ne crois pas qu’on va se marier.


DANS LA CUISINE, ALORS QU’ANNIE SE RETROUVE AVEC JAMES. MARY ET ROBBIE SE DISPUTENT UNE TROISIEME FOIS.

Robbie : Non, tu ne l’as pas fait.

Mary : Si, je l’ai fait.

Robbie : Non, tu ne l’as pas fait.

Mary : Si, je l’ai fait.

TOUT A COUP, ANNIE S’EST BLESSE LE DOIGT.

Annie (criant de douleur) : Aaah ! Aaah !

James : Oh ! De l’eau froide.

ANNIE RINCE SON DOIGT DANS UN JET D’EAU.

James (fermant le robinet) : Et voilà. Serrez fort. Serrez, Annie … Oui.

Annie : Je crois que ça va mieux maintenant.

James : Je voulais rester dîner chez vous mais je vais partir.

Annie : Pourquoi faites-vous ça ?

James : Parce que je veux être avec vous. Quand je ne suis pas avec vous, je pense à vous et je sais que vous êtes mariée et que vous aimez votre mari. Il ne peut rien arriver mais je sais aussi que je n’avais plus ressenti ça pour une femme depuis la mort de la mienne.

JAMES FINIT PAR EMBRASSER ANNIE.

James : Euh, je suis désolé. Je n’aurais pas dû … mais je n’ai pas pu me retenir.

ON VIT LUCY ET JEREMY RENTRANT A LA MAISON.

James : Je ferai mieux de partir.

APRES LE DEPART DE JAMES, LUCY ET JEREMY SONT SUR LE POINT D’ANNONCER SES FIANCAILLES À ANNIE.

Lucy : Jeremy et moi, on a quelque chose à vous dire. Où est papa ?

Annie : Je ne sais pas. Je … je l’ai bipé mais il ne m’a pas encore rappelé.

Lucy : Nous allons attendre qu’il rentre.

Jeremy : Nous voulons vous l’annoncer en même temps.

Annie : Oui.

Robbie (arrivant soudainement) : Non, tu ne l’as pas fait.

Lucy : Salut Mary. Bienvenue à la maison.

Mary (répondant à Robbie) : Si, je l’ai fait.

Robbie : Non, tu ne l’as pas fait.

Mary : Si, je l’ai fait.

Robbie : Non, pas toi.

Jeremy : Mary ?

Robbie (à Jeremy) : Vous vous connaissez ?

Mary : Oui.

Lucy : Tu connais Jeremy ?

Robbie : Comment tu t’appelles ?

Jeremy : Je m’appelle Jeremy.

Lucy : Tu ne m’as pas dit que tu connaissais ma sœur.

Jeremy : Eh bien, euh, je ne le savais pas. On s’est rencontré à New York

Robbie: Jeremy … New York … Jeremy.

Mary (à Lucy) : Et qu’est-ce que tu fais là ?

Lucy : C’est mon petit ami.

Mary (à Jeremy) : Tu es le petit ami de Lucy ?

Jeremy : Ouais. Le monde est petit.

Lucy (riant) Ha ! Ha ! Ha !

Mary (à Robbie) : Il faut que je te parle.

Robbie : Ce type est le Jeremy de New York ? Celui du quai de gare ? Celui qui habite là-bas avec ses parents et celui que … ?

Jeremy : Elle t’a raconté à propos de la gare ? Oh, j’ai dû faire bonne impression.

Mary : Il faut vraiment que je te parle.

Robbie (en colère) : Et moi, je dois parler à Jeremy.

Jeremy : Tu es le petit ami de Mary.

Robbie : Tu savais pour moi et tu l’as quand même fait ?

Lucy : Fait quoi ?

Annie : Oui, fait quoi ? Qu’est-ce que Jeremy a fait ?

Jeremy : Rien.

ROBBIE FINIT PAR METTRE JEREMY K.O.

Lucy : Mais qu’est-ce qui lui prend ?

MARY EST APEUREE.

Robbie : Ouais, qu’est-ce qui te prend ? Allez Mary, dis-lui. Dis-lui ce que tu as fait avec Jeremy … Elle a eu des relations physiques avec Jeremy.

Jeremy : On a fait quoi ?

Lucy (en colère contre Mary) : Qu’est-ce que tu as fait avec mon petit ami ?

Jeremy (à Lucy) : Ne me regarde pas comme ça. Je ne sais pas de quoi elle parle.

Annie : Excusez-moi, mais de quoi vous parlez ?

Lucy : Oh, Robbie a dit que Mary a eu des relations physiques avec mon fiancé.

Jeremy : J’ai fait quoi ?

Robbie : Ca me rend malade.

Annie (à Lucy et Jeremy): Attendez une seconde. Tu veux dire que vous êtes fiancés.

Lucy (montrant la bague): Oui. Jeremy et moi, on s’est fiancé aujourd’hui … Et je n’irai pas à Crawford l’année prochaine. Je voulais abandonné mes études et aller vivre avec Jeremy mais … maintenant, je ne sais plus. (À Mary) Comment as-tu pu faire ça avec mon petit ami ? Tu sais, ça devait être le plus beau jour de ma vie et … et là, en un rien de temps, tu viens de tout détruire. Je te remercie beaucoup. Pourquoi est-ce que t’es revenu ?

QUELQU’UN FRAPPE A LA PORTE.

Mary (à Wilson) : Qu’est-ce que tu fais ici ?

Wilson : Je suis venu te chercher, Mary. Viens vivre avec moi à New York.

Robbie : C’est qui, ce clown ?

Mary: Robbie, voici Wilson. Wilson, Robbie.

CES DEUX HOMMES SE REGARDENT FROIDEMENT.

Mary : Wilson et moi, nous sommes sortis ensemble dans le passé.

Lucy : Ah ? Mais il ne sait peut-être pas que tu as couché avec mon petit ami, lui.

ROSIE ARRIVE.

Rosie : J’en doute. Alors qu’est ce qu’on mange ?

Script rédigé par Nadine, toute reproduction est interdite
 
     

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