Saison 1 en VF



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6.18 "La bague au doigt"



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Eric Script de l'épisode 5.07 "Au revoir"

Eric : qui a dit que c’était facile ? Si c’était facile il n’y aurait pas d’adolescents à problèmes, malheureusement le fait est qu’il y a des adolescents à problèmes et malheureusement encore tu en as un qui en fait partis, rien que l’admettre c’est un grand pas. Mais l’admettre ça ne suffit pas il faut aussi se résoudre à agir et plus que tout il faut agir dans le bon sens et il faut continuer à agir dans le bon sens. Eh on ne sait si l’on agit dans le bon sens que si ça marche et si ça ne marche pas on recommence sans relâche parce qu’on a beau avoir de l’expérience entre parents, on a beau avoir tout lus sur la question quoiqu’en disent les spécialistes  il reste parfois parmi toutes les décisions qu’on a prise en conscience, malgré toute notre bonne volonté, tous nos efforts et notre amour cet adolescent, cet enfant qu’on aime, va continuer à s’enfoncer sur ce même chemin qui irréductiblement l’entraîne sur la mauvaise pente parce que cet enfant est une personne et que toute personne jouit de droit d’un certains libre arbitre. Ca signifie que c’est mon rôle à moi de la remettre dans la bonne voie où que ça veut dire que c’est à elle de se montrer responsable et de tout assumer. Ca veut seulement dire que tu dois cesser de parler tout seul et rentrer car on  t’attend pour manger

GENERIQUE

Eric et Annie sont dans la cuisine
Eric : qu’es ce qu’on mange ?
Annie : poulet pour changer . Ca te dérange pas ?
Eric : Oh j’adore le poulet, j’adore
Annie : toujours préoccupé au sujet de Mary ?
Eric : oui, ça j’en ai peur et tant que je n’aurais pas trouver par quel moyen Mary a trouvé l’argent pour payer ses factures, je serais toujours aussi préoccupé
Annie : c’est drôle plus je rangeais aujourd’hui et plus ça me rendait folle, j’étais persuadée que d’ici ce soir on serait où Mary s’était procurée l’argent alors j’essayais de pas trop y pensais en attendant cette révélation mais j’avoue que plus j’essayais plus ça me rendais folle. J’arrive pas à pensais à autre chose
Eric : comme moi et quelque chose me dis que quelque soit la façon dont elle est arrivée a ce le procurée ça va nous révéler quelque chose d’important à propos de Mary enfin j’espère et en même temps, en même temps j’espère non en vérité je n’espère rien, rien du tout
Annie : je ne sais même pas quand tout cela à commencer
Eric : ce qui m’inquiète moi c’est que je ne sais pas quand ça va finir
Annie : oh ça m’épuise, franchement j’en ai assez de m’inquiéter de me rendre chèvre pour cette histoire
Eric : et moi ça me déprime
Annie : et  bien on va se remonter le moral  tous les 2. Je pourrais appeler les Hamilton et leur dire de passer ce soir pour prendre le café et discuter avec eux ça nous ferait du bien
Eric : oué, discuter ça fais toujours du bien
Annie : oui et nous aidé a savoir comment Mary s’est procurée une telle somme
Eric : t’y penses encore là ?
Annie : oui je ne fais que ça
Eric : elle est pas rentrée ?
Annie : non elle est sortie vers midi, elle n’est toujours pas rentrée
Eric : où est ce qu’elle peut bien aller, enfin elle ne passe comme même pas tous son temps à chercher du travail

Mary est au cinéma
Chris : je suis sur que ça te fera plaisir de savoir que le programme à
changé
Mary : oué j’en suis ravie

Lucy arrive dans la cuisine
Lucy : bonsoir, tu veux un coup de main ? Je pensais pas rester à la bibliothèque aussi longtemps, j’ai pas vu le temps passer, j’ai vraiment hâte de me débarrasser de ces partiels
Annie : tu as encore une semaine
Lucy : c’est vrai j’ai encore toute une semaine seulement je trouve que j’écrit mieux quand je laisser reposer un texte pendant quelques jours avant de donner une dernière petite touche. C’est comme quand on finit une maison, mes amis d’habitat pour l’humanité et moi on regarde ce qu’on a fait sans trop savoir quoi penser et quand on revient le lendemain, on ajoute la petite note finale spéciale. Je veux seulement faire de mon mieux, c’est ma dernière année de lycée
Annie : merci
Lucy : j’ai oublié de te demander est ce que Mary dîne à la maison ?
Annie : pour le moment je n’ai pas de ses nouvelles
Lucy : maman je suis sure qu’elle cherche du travail tout simplement
Annie : tu en es sure ?
Lucy : oui enfin j’espère que c’est tout simplement ce qu’elle fait
Annie : a part ça que peut-elle faire ?
Lucy : eh bien je sais pas
Annie : et aucun de vous ne sait comment elle s’est procuré l’argent pour payer ses factures ?
Lucy : la réponse est toujours non. Elle a dit que son patron lui devait de l’argent
Annie : qu’es ce qu’il sait passer pour son boulot à la librairie ?
Lucy : c’est tombé à l’eau je crois enfin j’en sais rien

Eric parle avec Simon
Simon : je sais pas où elle se l’ai procurée mais je pense pas qu’elle ai braqué une banque
Eric : t’en ai vraiment sur ?
Simon : écoute je plaisante
Eric : ce que je trouve particulièrement bizarre c’est qu’elle ai pas emprunté  à la célèbre banque Simon
Simon : euh peut être qu’elle a demandé si je pouvais lui en prêter
Eric : et …
Simon : mais je lui ai rien prêté je te le promet
Eric : et vous les garçons ? C’est vous qui avait prêté l’argent à votre grande sœur ?
(les jumeaux font des petits cris)
Eric : qu’es ce qui a ? Ruthie ? C’est Ruthie qui a prêté l’argent à Mary ?
Simon : il faudrait que tu pose la question à Ruthie
Eric : je te la pose à toi alors réponds
(les jumeaux pleurent)
Eric : excuse moi tu sais en ce moment je me fais du souci pour Mary
Simon : on se fais tous du souci pour Mary

Annie téléphone à Matt
Matt :  allô
Annie : Matt c’est maman, comment vas-tu ?
Matt :  euh je vais très bien en fait je m’apprêté à sortir
Annie : j’ai essayer de t’appeler toute la semaine
Matt :  quand je suis pas au boulot j’étudie et vice-versa tu comprend ? Et la je m’appraité à aller étudier
Annie : je te retiendrais pas je veux juste te poser  une question : voilà la semaine dernière Mary ne savais pas comment payer ses factures et tout à coup elle a trouvé de l’argent, est ce que c’est toi qui lui en aurait prêté ?
Matt :  voyons maman comment je ferais pour lui en prêtais ?
Annie : tu travailles ?
Matt :  oui je travaille pour payer les factures et je paie mes factures
Annie : est ce que tu penses que Simon lui en aurait prêté ?
Eric : c’est pas lui il vient de me le dire, ce n’est pas lui
(Annie raccroche)
Annie : où est ce qu’elle a trouvé l’argent ? Est ce que tu penses qu’elle a dis la vérité ? Qu’un de ses patrons lui devais de l’argent et lui aurait fais un chèque ?
Eric : non j’en doute, j’ai posé la question a ces anciens employeurs et personne ne lui doit de l’argent
Annie : bon ce n’est pas Matt, ce n’est pas Lucy
Eric : c’est pas Simon. Elle aurait pus demander ça a ton père, tu crois ?
(Annie téléphone à son père)
Charles : allô
Annie :  papa est ce que tu vas bien ?
Charles : Je sais pas j’ai oublié
Annie : quoi ?
Charles : c’est ce fichu alzheimer qui m’inspire de fine blague, je viens de faire quelques kilomètre à pieds ça va
Annie : ah tu en ai sur ?
Charles : oui j’en suis sur et toi ça va ?
Annie : oui très bien
Charles : non tu n’as pas la voix de quelqu’un qui va très bien chérie, il n’y a pas de problème avec Eric et les enfants ? Je jurerais que Mary à fais des sienne c’est ça ?
Annie : elle à soudainement trouver une certaine somme d’argent, pas une somme astronomique mais suffisamment pour payer ses factures et je me demandais si c’était pas toi qui lui as aurais prêté
Charles : non, si tenté que je m’en rappelle
Annie : je t’en prie papa, je suis sérieuse
Charles : c’est Ginger qui contrôle toute les dépenses alors t’inquiète pas, ce n’est pas demain la veille que je commettrais la folie de donner à Mary  le premier sous de quelques dettes que se soit. Je suis prêt à l’aider à tout moments mais pas comme ça
Annie : merci papa
Charles : si je peux faire quoi que se soit
(Annie raccroche)
Annie : ce n’est pas lui non plus
Eric : t’as vu que t’as raccroché au nez de ton père là ?
Annie : oh non quand je te dis que je deviens chèvre
(Annie rappelle son père)
Charles : oui j’écoute
Annie : papa je t’ai raccroché au nez, excuse moi
Charles : qui est à l’appareil ?
Annie : ben voyons c’est moi Annie, je viens de t’appeler à l’instant
Charles : tu es sure ?
Annie : oui certaine
Charles : je t’ai encore eu, excuse moi j’ai pas pus résister maintenant si tu veux poser ton diagnostic tu peux y aller  tu as tout les éléments en main
Annie : papa je t’embrasse très fort
Charles : je t’embrasse encore plus fort
(Annie raccroche)
Eric : je vais appeler mon père également, elle lui a demandé de l’argent quand il était là mais il ne lui en a pas donné
Annie : tu ne crois pas que ces amis Frankie ou Johnny auraient mis la main à la poche ?
Eric : non ils n’ont pas les moyens c’est cher la  marijuana de nos jours ?
Annie : peut être John ?
Eric : ça c’est une idée
(Annie appelle John)
Matt : allo
Annie : tu n’es pas à la bibliothèque ?
Matt : je vais y allais, t’appelle pour vérifier ?
Annie : non je voudrais parlé à John
Matt : il n’est pas rentré mais il sera ravi de savoir que ma mère à appelé.
Quoi ?
Annie : crois-tu que c’est lui qui pourrait avoir dépanner Mary ?
Matt : non
Annie : tu en ai sur ?
Matt : je suis absolument sur qu’il ne ferait jamais ça
Annie : est ce que tu pourrais comme même lui demandé ?
Matt : je le ferais c’est promis
(Annie raccroche)
Matt : dés qu’il sera rentré
Annie : ce n’est pas John
Eric : Heather . Peut être que c’est Heather
Annie : non je lui ai parlé en classe et elle n’a aucune nouvelle de Mary
(Ruthie arrive dans la cuisine)
Ruthie : je dois vous l’avouez, l’argent c’est moi qui lui ai prêté, je lui ai refilé 20 dollars et elle m’as remboursée
(Ruthie part)
Eric : Mary avait besoin de plus de 20 dollars. Elle s’est adressais à
Ruthie en dernier pas en premier
Annie : ce qui veux dire qu’elle a aussi emprunté aux autres enfants

Ruthie, Lucy et Simon parlent
Ruthie : je l’ai fait vous êtes content maintenant ?
Lucy : t’as fais du bon boulot mais ça ne l’ai retiendra pas longtemps, ils vont continuer à cherché jusqu'à ce qu’ils trouvent, on a eu tord de croire qu’ont s’en tirerais aussi facilement
Simon : allez calme toi, ils ne le seront pas d’accord ?

Eric et Annie parlent
Eric : tu as remarqué si il manqué quelque chose dans la maison ?
Annie : non, et je suis effrayée à l’idée que tu imagines Mary capable de nous voler, là je trouve que tu exagères
Eric : d’un autre côté c’est sympa de ce dire qu’il y a quelque chose d’intéressant à voler. Pourquoi pas Hanks et Julie, peut être qu’il lui on prêté
(Annie appelle Hanks et Julie)
Julie : allo
Annie : bonjour Julie c’est Annie, comment vas-tu ?
Julie : ça va je suis contente de t’entendre
Annie : et comment va Hank ?
Julie : oh il va très bien, on va bientôt passer à table tous les deux (elle se tourne vers son mari) c’est Annie. Hank vous dis bonjour
Hank : non je n’ai rien dis
Annie : Erika ça va ?
Julie : le bébé va très bien
Annie : est ce que vous avez prêtez de l’argent à Mary ?
Julie : non, on ne lui en a pas prêté
Hank : prêté quoi à qui ?
Julie : de l’argent ont en a pas prêté à Mary ?
Hanks : euh non
Julie : non
(Annie raccroche)
Annie : c’est non, ils ont dis non. Oh
(elle rappelle en voyant qu’elle a raccroché au nez de Julie)
Julie : Annie, est ce que nous avons été coupées ?
Annie : non, non non, vous n’auriez pas remarqué si il manqué quelque chose parmi vos objets de grande valeur chez vous ?
Julie : non rien ne manque
(Annie raccroche)
Hanks : elle a de nouveau raccroché ?
Julie : il ne manque aucun objet de valeur n’est ce pas ?
Hanks : la seule chose de valeur dans cette maison c’est notre fille et je l’entends respirais, allez à table
Eric : on en ai vraiment arrivé là ? Interrogé les amis et la famille ? Afin de découvrir où Mary à trouvé une telle somme d’argent ?
Annie : si on ne trouve pas rapidement je sens que ma tête va exploser. Ah
Robbie, il travaille, il a de l’argent, il peu lui en prête, c’est lui qui lui en a prêté
Eric : non je pense pas
Annie : mais pourquoi voyons ?
Eric : parce que je lui ai rendu visite et il fréquente à nouveau son ex petite-amie et comme il le dis lui-même : Vous avez vus ma nana ? Moi je tiens à la vie
Annie : il ment, on sais que c’est un menteur
Eric : je regrette de devoir te le dire mais je pense qu’il dis la vérité et j’ai l’impression que c’est notre petite bande de Vaurien qui ment, ils mentent tous sans exception. Matt, Lucy, Simon, Ruthie, Sam et David feraient la même chose si ils le pouvaient
Annie : tu penses qu’ils mentent tous c’est ça ? Sans exception ?
Eric : j’en suis sur
Annie : mais Ruthie à avouer de façon spontanée
Eric : mais ça c’était pour faire diversion, c’est une simple manœuvre de diversion

Ruthie et Lucy sont dans la chambre des jumeaux
Ruhtie : ils n’y ont pas crus, ont est repérés, faut remettre l’argent dans les tirelires, on a plus que 24H pour ça, maman les remplis toujours le même jour de chaque mois
Lucy : il va falloir faire vite

Annie et Eric parlent de leurs enfants
Annie : tu penses vraiment qu’ils sont aussi sournois ?
Eric : oui si c’est pour protégé Mary, ils veulent lui éviter d’avoir des ennuis, ils l’aiment
Annie : je l’aime moi aussi
Eric : et moi donc. Et on ne veux pas qu’elle ai des ennuis et la vérité c’est qu’elle en a en ce moment, et il va falloir qu’on réagisse toi et moi rapidement mais qu’allons nous faire et quand allons nous pouvoir  commencer à le faire ?

Eric et Annie invite Morgan et Patricia Hamilton
Eric : merci beaucoup d’être venus, on a beaucoup pensé à vous cet été mais on n’a pas eu le temps de vous inviter
Morgan : On a été très occupé de notre côté
Annie : on est très heureux de vous voir. Alors comment vont les enfants ?
Patricia : eh bien Naan est en pleine forme c’est presque une femme vous savez
Morgan : c’est la plus facile de nos enfants et Ruthie ?
Annie : oh elle n’est pas facile mais elle travaille très bien à l’école, on l’a inscrit à Léanore-Roosevelt. Elle aime vraiment l’école ça la stimule énormément
Patricia : c’est si gratifiant qu’une enfant aime apprendre, actuellement Keesha suis des cours à l’université de Junior, tout en suivant le programme normal de son année de terminal
Annie : oh et Lucy à décidé que pour la terminale elle donnerait le meilleur d’elle-même
Eric : avec un de ses camarades, ils ont organiser une sorte d’amical afin de pouvoir postuler très tôt dans des universités, elle a de bons résultats de façon générale et elle a une très bonne moyenne
Annie : et John ?
Morgan : et bien l’envoyer à l’université c’est la meilleure chose que nous ayons jamais fais
Patricia : pardon, pardon, ce n’ai pas nous qui l’avons envoyé, il nous a poussé à prendre la décision
Morgan : oui et il à été pris à son propre piège du coup mais il a eu sa revanche il a pris la résolution de ne pas échouer et il a réussis
Eric : il est arrivé à stimulé Matt et même si nous ne sommes pas sur que Matt réussisse à entrer en  médecine, au moins nous sommes ravis de le voir relever le défi, maintenant il a un but. Il exerce le même emplois depuis plus d’un an. Qui l’aurais imaginer ? Comment va Nigel ?
Morgan : bien oui, et Mary ?
Eric : oh Mary disons
Annie : oh rien de plus
Eric : oué c’est
Annie : Mary

Lucy appelle Matt
Matt : (avec une voix bizarre) oui allô
Lucy : Matt
Matt : Lucy ?
Lucy : pourquoi est-ce que tu réponds comme ça ?
Matt : ah ça c’est parce que j’ai oublié que chaque fois que le téléphone sonne c’est maman systématiquement, pourquoi tu m’as pas appelé ? Tu sais bien que je peux pas appeler là-bas
Lucy : t’aurait pus le faire avec ta voix de fille
Matt : vraiment ?
Lucy : bien sur, mais non c’est la 1ere fois que je t’ai appelé, les parents sont en bas avec les Hamilton
Matt : pourquoi il y a les Hamilton ?
Lucy : je sais pas ils ne reçoivent jamais un soir de semaine, maman à fait un gâteau au chocolat et on est lundi soir, pour qu’ils les ai invité ils faut vraiment que ce soit important
Matt : et où est Mary ?
Lucy : question à 1000 dollars mon vieux, on ne sais pas où elle ai d’ailleurs personne ne sais jamais où elle ai. Quand elle rentre à la maison elle dis seulement qu’elle a passé sa journée à chercher du boulot
Matt : je pensé qu’elle aurait trouver depuis le temps, je pensé même qu’elle aurait été payer et qu’elle aurait remis l’argent à sa place, à savoir les tirelires des jumeaux, du moins une partie
Lucy : écoute, je crois qu’ils nous surveille , ils ne savent peut être pas d’où vient l’argent mais ils nous ont à l’œil et il faut remettre de l’argent dans les tirelires des jumeaux et il va falloir le faire très rapidement
Matt : je suis désolé j’ai pas d’argent et je suis en train de révisé pour un test, j’ai pas le temps de m’occuper de ça
Lucy :  j’ai pas le temps moi non plus, j’ai un truc super important à rédigé
Matt : je vois vraiment pas pourquoi on se crie dessus si on dois crier sur quelqu’un c’est sur Mary
Lucy : on peut pas crier sur Mary, on ne sais même pas où elle est

Mary est au cinéma
Mary : une place
Chris : tu vas comme même pas le revoir ?
Mary : si je l’ai trouvé amusant ça te pose un problème peut être ?
Chris : non mais je me disais juste que si tu as vraiment l’intention de le revoir tout les jours comme celui de la semaine dernière, tu ferais peut être bien de laisser passer 24H au moins entre 2 séances
Mary : donne ce billet d’accord ?
Chris : je regrette c’est 5 dollars
Mary : mais je viens de le voir pour 1 dollars
Chris : oui ça c’est le tarif jour, le soir c’est 5 dollars
(Mary sort un billet)
Mary : si ça a déjà commence je demanderais le remboursement

Annie discutent avec Patricia Hamilton
Annie : je vais nous refaire du café et on ira voir ensemble les jumeaux
Patricia : je suis désolée j’ai tellement été prise que je n’ai pas eu le temps d’aller les voir
Annie : le temps semble passer vraiment très vite non ? A mesure qu’on vieillit
Patricia : je suis désolée que Mary vous donne tant de fils à retordre sincèrement. Je suis sure que ça va aller
Annie : en tous cas ça fais du bien d’en parler, je me sens beaucoup bien maintenant

Eric parle avec Morgan Hamilton
Morgan : je sais bien que ça ne vas pas te faire plaisir mais tu sais bien que c’est la vérité, tu ne devrais vraiment pas attendre pour agir, fais le tout de suite
Eric : je sais, je l’ai dis à d’autre parents moi-même mais quand ça tombe sur ces propre enfants c’est très difficile d’agir, parce que on trouve ça tellement incroyable, ma fille quia été une élève brillante pendant 12 ans, championne de basket pendant plusieurs année, elle perd vraiment tous ces moyens
Morgan : Eric ne perd pas espoir elle peut encore se ressaisir
Eric : cet argent où a-t-elle pus ce le procurée ?
Morgan : j’en ai aucune idée

Annie entre dans la chambre des jumeaux et découvre Ruthie qui remplis les tirelires des jumeaux de sable
Sam : euh
David : maman
(Annie découvre Ruthie qui verse du sable dans  les tirelires des jumeaux)
Annie : oh, Eric !
Eric : oui
Ruthie : oups
(Lucy, Simon, Morgan et Eric arrivent)
Eric : que se passe t-il ?
Annie : je sais maintenant d’où provient l’argent de Mary
Eric : oh mon dieu
Patricia : nous allons vous laissez, je crois que ça vaut mieux, tu viens

Patricia, Morgan, Simon et Lucy partent
Ruthie : tous ça n’a rien à voir avec Mary, j’arrête pas de piquer des sous aux jumeaux depuis leurs venus au monde
Eric : continue vas y on t’écoute
Ruthie : je m’étais du riz à la place pour que vous ne remarquiez pas que la tirelire était vide, et pour l’autre c’était pareil mais je rembourserais c’est promis
Annie : comment as-tu pus voler 500dollars l’argent de tes frères, l’argent de 2 bébés ?
Ruthie : je vous demande pardon, punissez moi comme vous voudrez
Annie : et que fais-tu de l’argent ? Explique moi
Ruthie : euh j’ai acheté un cheval
(Matt arrive dans la chambre des jumeaux)
Matt : qu’es ce qui se passe ?
Eric : qu’es ce que tu crois ? Ta petite sœur de 10 ans veux nous faire croire qu’elle à volé de l’argent pour protégée Mary
Annie : ça alors, c’est la vérité oui ou non ?
Ruthie : non c’est moi qu’il l’ai volé, j’ai fais une grosse bêtise, je mérite une grosse punition
Matt : non Ruthie c’est moi qui n’a pas joué mon rôle de frère, en laissant tous ça arrivé. Mary nous a demandé à tous de lui prêté de l’argent, aucun de nous n’avez la somme dont elle avait besoin alors on à décidé de vidé les tirelires des jumeaux. On lui a donné ce qu’il y avait, elle devait trouver un travail cette semaine et commencez à rembourser mais elle est fauché. Il allait saisir sa voiture et il on annulé son assurance, on a simplement eu pitié d’elle
Eric : vous allez tous descendre et nous attendre dans le salon, on vous
rejoins dans quelques minutes
(Simon, Matt, Lucy et Ruthie partent)
Annie : c’est pitoyable, c’est vraiment pitoyable. Qu’es ce qu’on va faire ?
Eric : on va parler à nos enfants, on va leur demander ce qu’il s’est passé, ce qu’ils pensent de ce qu’ils ont fait et puis au moment où elle rentreras, on demandera à Mary de s’expliquer
Annie : et ensuite ?
Eric : ensuite je ne sais pas mais j’ai ma petite idée

Eric, Annie, Lucy, Matt, Ruthie et Simon attendent Mary dans le salon
Eric : je crois que c’est sa voiture
(Mary rentre)
Mary : c’est quoi cette petite réunion de famille ?
Eric : nous t’attendions tous. Assis toi on voudrais te parler un instant
Mary : et si je veux pas m’asseoir qu’es ce qui va se passer ? Bon c’est quoi encore une de te fameuse explication ?
Eric : non ce n’est pas une explication on va même inventer quelque chose de nouveau que je vais appeler de la prévention. On veux que tu écoutes ce qu’on a à te dire
Mary : non je préfère encore aller dans ma chambre
Eric : si tu y vas, on y va tous, parce que tous ici on pense que tu vas t’attirer de très gros ennuis si tu ne nous écoutes pas. Nous sommes ta famille, nous t’aimons
Mary : écoute si c’est simplement pour l’argent ..
Eric : assis toi
(Mary s’assois)

Eric rappelle à Mary tous ses dérapages
Eric : on dit toujours que la vie est une école et que certaines leçon sont plus durs que d’autre. Ce que j’ai appris au cours de l’année passé c’est que tu n’étais pas aussi forte et déterminer que je ne le pensais, pas réussir à cette leçon de la vie et je ne rends compte maintenant que j’aurais sûrement dus t’épauler d’avantage, j’ai parlé avec le patron de la salle de billards, tu aurais pus t’en doutais n’est ce pas ? Il m’a dit que c’est lui qui t’avait renvoyé. Il a ajouté que tu étais toujours en retard, que tu te comportais mal et que tu passais ton temps au téléphone et qu’il avait dus se séparer de toi. J’ai parlé avec Pitt de Pits’pizza, tu m’as dis qu’il avait fais faillite et qu’il avait du te renvoyé hors il m’a dis qu’il avait dus te renvoyé parce que tu sortais après le travail avec Frankie et Johnny, que vous buvez de la bière, il craignait qu’il ai une mauvaise influence sur toi, il s’inquiétait du fait que tu puisses boire et ensuite rentrer en voiture.
Mary : je t’en prie
Eric : j’ai parlé avec le sergent Michael, il m’a appris que tu avais été arrêtée pour ne pas respecter un stop et il a ajouté que l’agent de police, enfin celui qui t’avait verbalisé pensé que tu conduisais en état d’ivresse. Il pensait aussi qu’il ne t’avait pas rendu service. J’ai bien peur qu’on ne t’ai pas rendu service non plus, aucun de nous ne l’a fais, on a juste regarder ailleurs parce qu’on ne voulaient pas voir la vérité, c’est tout

Annie la soutient en lui disant qu’elle a encore beaucoup à apprendre de la vie
Annie : la vérité c’est que nous t’aimons tous beaucoup, tu es une jeune fille formidable, tu as beaucoup à donner, tu es quelqu’un de précieux, u es très gentille et on appétit de la vie je le trouve admirable mais encore une fois, la vie à de dure leçon à nous enseigner et je crois que je préfère te parler durement ce soir, plutôt que de te laisser continuer à apprendre ces leçons toute seule. Je le sais et tu le sais aussi que tes 2 nouveaux amis, Frankie et Johnny fument des joints et boivent et que ce sont 2 irresponsables, il la frappe aussi, est ce que tu es au courant de ça ? Ils ont de graves problèmes, et je ne veux que leurs graves problèmes deviennent
tes graves problèmes. Je pense que tu n’as pas oublié que ta mise à l’épreuve n’est pas terminée, si tu te fais arrêtée pour conduite en état d’ivresse ou possession de marijuana  Tu iras en prison. Je ne te laisserais pas aller en prison Mary, je ne te laisserais pas, surtout quand je te vois aussi désorienté face à tes propres choix pour l’avenir. Je croyais qu’en te laissant un peu plus de temps pour y réfléchir, tu finirais par trouver mais je vois bien que tu en sois au même point. J’ai l’impression qu’en essayer de te trouver, tu t’es perdue, tu n’es pas la première personne à qui ce genre de chose arrive mais avant que tu ne te sois totalement perdue, nous voulons t’aider. Nous avions espérer que tu nous demanderais de te venir en aide mais peut être que c’est trop difficile pour toi en ce moment, tu dois savoir à quel point je t’aime Mary. Je t’aime vraiment. Oui je t’aime

Matt  se dis que c’est de sa faute car il aurais pus l’aidé
Matt : je regrette vraiment de ne pas avoir été plus présent, j’aurais pus t’aider. Tu compte pour moi, ce qui peut t’arriver compte pour moi, ce qui peut t’arrive compte pour toute la famille. Je t’ai observé de loin et je ne suis pas vraiment occupé de toi ou de ce qui pouvait t’arriver. C’est vrai je t’ai même plutôt éviter et peut être que j’aurais dû te dire ce que je pense de ton comportement beaucoup plutôt, je vois tellement de femmes paumées à l’hôpital, le plus souvent au urgences ou quand elle commence un programme de désintoxication. Je veux pas que tu deviennes comme elles, c’est trop facile de jouer la mauvaise fille, tu vaux mieux que ça. Je sais que je suis pas parfait, j’ai pas toutes les réponses mais je peux te dire ceci, la chose la plus importante que j’ai jamais faite pour moi-même, c’est de m’assumer enfin comme une grande personne. Je suis peut être pas complètement responsable 24H sur 24, mais j’y travaille, et j’espère au moins quand te disant ça je t’aiderais à prendre le même chemin que moi et à t’assumer comme une grande personne, si tu ne le fais pas pour toi, pense à nous et pense à quel point on a besoin que tu te comporte en personne responsable, ce que tu fais à un impact sur nous. Je sais que tu le sais, pourtant tu te comporte comme si tu t’en fichais. On fait tous des efforts pour donner le meilleur de nous, pas parce que le contraire est inacceptable mais parce que c’est se gâché stupidement la vie. Je vois que tu souffres en ce moment, c’est vrai, c’est pas ce que tu peux faire de mieux, tu peux faire mieux que ça. Je veux que tu fasses mieux que ça, je t’aiderais à atteindre cet objectif par tous les moyens. C’est à toi de décidé et à personne d’autre, c’est ce que je veux que tu fasses et je t’y aiderais, on t’aideras tous. Nous t’aimons, moi le premier

Lucy lui avoue qu’elle l’a toujours admiré et qu’elle devrait se remettre au sport
Lucy : je t’aime aussi tu sais, c’est difficile, voilà ce que je veux te dire, c’est que tu est ma grande-sœur et que je t’admire depuis toujours, enfin je t’admirais. Tu as toujours été meilleure que moi à l’école, tu as toujours été meilleure que moi sur tous les plans et si ça n’a quelque fois donné un sentiment d’infériorité, la plupart du temps, c’était pour moi un modèle de comportement parce que je voulais vraiment être comme toi, je ne veux être comme toi et si je dis ça c’est parce que je sais que toi non plus tu veux plus l’être. Tu ne veux pas être renvoyée, comme en ce moment, d’un nouveau boulot à un autre, tu ne veux pas avoir à mentir aux parents, pas plus qu’a nous, tu ne veux qu’on soit forcé de répondre aux gens chargés de te faire payer tes factures, je sais que tu n’ai pas comme ça. Tu es cette grande et belle et formidable jeune femme avec un ballon de basket dans les mains et du plomb dans la cervelle, je sais que tu as arrêté le basket mais peut être que tu devrais t’y remettre. Ca ou un autre sport parce que j’ai l’impression que quand l’équipe à sombré, tu as sombré avec elle. Le basket à toujours pourtant fait partie de ton identité et même si le fait que l’équipe à sombré explique que tu es perdue ton identité pendant un moment. Je pense que tu n’es davantage une ancienne joueuse de basket à la dérive, tu es une athlète et c’est une caractéristique qui te servira toute ta vie, tu as besoin de la compétition, de l’effort physique, de l’entraînement et
de la discipline. Tous ça c’est vital pour ton épanouissement. Personne ne t’empêche de pratiquer un sport quelconque, tu vas devoir t’y remettre très vite et je suis prête à faire absolument tous pour t’encourager mais je pense que c’est quelque chose que tu dois faire seule. Tu peux y arriver, tu es capable de gagner, tu l’as déjà prouvé et tu as toujours en toi ce qu’il faut pour vaincre, à toi de voir si tu le veux ou pas. Bon je crois que c’est tout ce que je voulais te dire ah non attends, je t’ai dis que je t’aimais je crois

Simon lui parle de la valeur de l’argent
Simon : je sais que tout le monde m’appelle la banque Simon et que tout le monde se moque de moi mais je vais te dire ce qui me plait dans l’argent, l’argent te dit exactement qui tu es en chiffres et pas en mot qui peuvent te blesser  ou te mettre en colère. Les chiffres sont des faits indiscutables et quand on voit les tiens, on comprend pourquoi tu as des ennuies. C’est simple tu ne gagnes beaucoup moins que tu ne dépenses et pas assez pour respecter tes propres obligations. Et ça tu le verrais si tu regardais les chiffres Mary. Mais je sais très bien que tu n’aimes pas ça, pourtant il le faut. Je peux t’aider à faire un peu le budget et étaler  tes remboursements si tu veux mais même si tu ne veux pas suis mon conseil. Ne dépense plus rien tant que tu n’auras pas rembourser  tes dettes et ne fais plus jamais de dettes La  1ere chose à réglé c’est ta dette personnelle, rembourse ce que tu dois à Sam et à David, je sais que la plupart des gens le feraient en dernier  et un conseiller financier te dirait de payer tes dettes institutionnelles en premier, mais je suis ton frère et je pense sincèrement que t’un point de vue moral, tu dois t’abord rembourser  tes relations et les parents en particulier. Et quand tu verras que ta petite colonne de dette envers Sam et David aura atteint le 0, ça t’en dira long sur toi. Tu sais ce que ça dira ? Ca dira que toi Mary Camden tu aimes les gens de ta famille plus que tout au monde et que tu es capable de tenir tes promesses envers toute ta famille, plus que m’importe qui, et en voyant toutes les petites colonnes diminuer semaine après semaine. Les pages te diront enfin que tu n’as plus de dettes et c’est magnifique. J’ai envie que tu vives ce moment magnifique parce que je t’aime

Ruthie en veut beaucoup à Mary et lui dis qu’elle la déteste
Ruthie : j’ai dû me tromper de réunion Mary, je sais pas pourquoi tout le monde se montre aussi gentil avec toi. Je croyais qu’on été là pour te dire combien on t’en voulait de tout le mal que tu nous as fait. Tu sais ce que je pense ? Que t’es égoïste et que tu te fiches complètement de ta famille, franchement je vois pas pourquoi il faudrait te prendre avec des gants. Tu fais comme si tu étais le centre de l’univers et de la famille Camden. Moi j’en ai assez de manger froid tous les soirs parce qu’on espère tous que tu viendras dîner avec nous, j’en ai marre que tu me réveilles pratiquement tous les soirs parce que tu fais du bruit en montant l’escalier, j’en ai marre de voir les parents se disputer à cause de toi et j’en ai marre de couvrir chacune de tes bêtises. Seulement ça je ne le referais plus. Tu m’as forcé à mentir aux parents, tu n’as jamais manger une pizza avec moi comme tu l’avais promis. Tout ce qui te préoccupe c’est toi
(Ruthie part en courant)

Eric et Annie annonce à Mary qu’elle va partir
Eric : Lucy, Simon monter dans vos chambres comme Ruthie
(Matt, Simon et Lucy partent)
Mary : je crois que j’en supporterais pas davantage
Annie : c’est exactement ce que nous ressentons ton père et moi
Mary : écouter j’ai saisi le message et je tacherais de me corriger
Eric : non Mary tu n’as pas tous saisis. Tu as eu droit à la partie du programme que je qualifierais de « tout public », nous allons passez à la partie adulte de la conversation que ta mère et moi voulons avoir avec toi
Annie : j’ai fouillé dans ta chambre et j’ai trouvé ça
May : très bien vous avez trouvé un joint et il n’a même pas été allumé, j’ai rien fait avec
Eric : pourquoi tu l’avais si c’était pas pour le fumer ? Et comment l’as-tu eu ? Par Frankie et Johnny ? Hors tu n’es pas censé sortir avec Frankie et Johnny et tu l’as depuis quand ? Trop de questions, trop vite, pas le temps d’inventer un mensonge ? Tu pourrais prétendre que Frankie t’es emprunté ton blouson et la laissé dedans et oui Mary la vie n’est pas simple quand on ne dit pas la vérité
Mary : je n’en reviens pas que vous aillez fouiller dans ma chambre, vous n’êtes pas de la police, j’ai des droits vous savez
Annie : je te l’ai déjà dis et je ne le répéterais jamais assez, un droit c’est quelque chose que l’on ne puisse jamais t’enlever, ni moi ni personne. Par exemple tu as droit de t’indigner en ce moment et je ne peux pas t’en priver mais l’intimité est un privilège octroyer par tes parents et ce privilège on peut t’en priver. Nous savions que tu étais sur la mauvaise pente mais nous étions loin de penser que tu en étais arrivés à ce point là
Mary : je ne suis pas sur la mauvaise pente
Eric : ce n’est pas ce que tu entends paraître sur la mauvaise pente. Hans et Julie nous on dit comment on expérience de baby-sitting avait tourné au fiasco, ils ont dis que le bébé de tes amis était chez eux et qu’il y avait de la bière sur la table, j’appelle ça être sur la mauvaise pente. Fumer un joint c’est la même chose, as-tu essayé de fumer de la marijuana ?
Mary : même si je l’ai ait, en quoi c’est mal de faire l’expérience ? En quoi c’est mal d’essayer rien qu’une fois ? Tout le monde veut faire l’expérience une fois dans sa vie
Eric : non, Mary, pas tout le monde. Moi par exemple je n’ai pas essayé. Et ensuite laisse moi t’expliquer quel mal y peux y avoir à faire cette expérience. Bien sur pour certaine personne rien n’arrive en dépit du fait qu’il on essayer de fumer un joint mais pour d’autres en revanche beaucoup de choses on coulé du fait qu’il on voulus un jour fumer un joint. Des comportements de délinquants, la tentation de toujours essayer des drogues toujours plus dures, la dépendance à ces autres drogues. Interpellations, condamnation, détentions enfin ce genre de choses. A quelles catégories de gens tu appartiens ? A priori on ne peut pas le savoir, mais en faire l’expérience juste pour voir, c’est un sacré risque tu ne trouves pas ? En tous cas moi je le pense. Et encore plus quand on fait comme toi une mise à l’épreuve
Annie : Mary nous avons bien réfléchi à la question, et nous voyons ce que tu ne peux pas faire de ta vie, ça ne nous étonnes pas. Ca nous à pris beaucoup de temps avant d’avoir pus élaborer un projet moi-même
Mary : un projet ?
Annie : je sais que le colonel à proposé de t’aider et tu as refusé son offre et bien nous, nous on l’a accepté
Mary : qu’es ce que vous avez accepter ?
Eric : on a décidé que tu irais passé l’hiver à Buffalo voilà ce que nous avons accepter. Tes grands-parents trouvent à présent qu’ils ont suffisamment de temps libre pour s’occuper de toi, maintenant que George a retrouvé son vrai-père
Mary : quoi ?
Eric : je ne sais pas si tu as remarqué mais tu as quand même 6 frères et sœurs, et on te donne plus que la part qui te convient d’attention et d’énergie. On doit agir pour le bien de toute la famille
Mary : donc pour le bien de toute la famille vous allez m’expédier en Sibérie pour aller vivre avec un couple de vieux ?
Annie : grosso modo c’est ça. Tu vas vivre chez tes grands-parents, en attendant George s’installera dans la pension de famille avec son père. Tu travailleras au foyer d’accueil pour les sans logis. Tu utiliseras tes 2 premiers salaires pour rembourser Sam et David et à partir de janvier toi et ta grand-mère Rosie, vous prendrais des cours ensemble dans la petite université locale
Mary : et à part ça ? Quel sont les autres possibilités ?
Eric : tu n’as pas ‘autres possibilités. On va te conduire à l’aéroport et tu vas prendre le vol de nuit pour New York dés ce soir
Mary : que deviens ma voiture ?
Eric : écoute pour l’instant la voiture est à mon nom, on va honorer les payements jusqu'à ce qu’on décide de faire autrement c’est tout
Mary : qu’es ce que je vais conduire à Buffalo ?
Eric : alors là franchement c’est le cadet de mes soucis. Dés qu’il pensera qu’il pourra te faire confiance, grand-père acceptera de te faire conduire son impala, c’est une merveille
Mary : oui et si je disais non. Peut être que j’ai pas envie de le faire et que je vais pas le faire
Eric : à toi de nous le dire. Tu peux proposer quelque chose de mieux mais fait vite avant qu’on ne parte à l’aéroport, qu’on l’examine ta mère et moi
Annie : j’ai mis 2 valises dans ta chambre
Eric : on a prévu de quitter la maison à 9H

Mary fait ses valises mais Lucy arrive
Mary : je croyais avoir été claire, j’avais dis de pas venir. Ecoute, je pars bientôt alors sois patiente tu auras bientôt la chambre pour toi toute seule
Lucy : tu vas pas t’en aller comme ça
Mary : comment tu croyais que j’avais m’en aller exactement ? On me planque dehors, je vais vire chez le colonel et grand-mère Rosie à Buffalo, tu sais comment c’est Buffalo et tu sais comment ils sont. Comment tu pouvais penser que je partirais avec plaisir ? Comment ?
Lucy : mais je ne savais pas que ça se passerait comme ça et les parents sont peut être plus soucieux de ta sécurité que ton plaisir
Mary : Casse-toi
Lucy : c’est comme ça que tu me dis au revoir ?
Mary : oui c’est comme ça que je te dis au revoir et tu diras aux autres qu’ils n’ont pas intérêt à rentrer dans cette pièce, je ne veux ni parler à aucun d’entre vous. (elle lance un cousin sur Lucy) Casse toi

Dans leur chambre, Annie et Eric parlent de Mary et de Buffalo
Annie : Mary est vraiment fâché contre nous
Eric : je sais ça n’est égale je préfère voir un enfant fâché qu’un enfant mort
Annie : Eric dis moi encore que c’est la meilleure chose à faire
Eric : c’est la seule chose à faire, il faut un endroit sur et c’est un endroit sur pour elle. Le colonel et Rosie peuvent lui apporter la sécurité là-bas
Annie : et nous on ne peux pas ?
Eric : nous vivons à proximité de ces nouveaux amis et ces amis travaille dans notre voisinage donc elle n’est pas en sécurité ici et puis rien de tel que de changer d’endroit quand on prend un nouveaux départ et ce n’est pas vraiment la Sibérie tu sais, ils ont une maison superbe avec un bon système d’alarme. Le père de George était à la C.I.A, il est sûrement plus doué en espionnage que toi ou moi. Elle aimait bien aller là-bas tout enfant
Annie : enfin est ce qu’on à le droit de demandé à d’autre personne d’assumer nos problèmes ? On devrait essayer de les réglé nous même
Eric : comment ? Que pourrions-nous faire que nous n’avons pas encore tenté ?
Annie : je sais pas mais il doit y avoir un moyen
Eric : c’est possible mais dit toi que tu es un chirurgien à qui on demande d’inventer une technique pour sauver la vie de sa propre fille condamné, on sais que ce seras mieux si c’est quelqu’un de plus objectif qui tente l’opération. Mon père sais très bien s’y prendre avec les enfants indisciplinés qui ont besoin d’être quittés avec force et tendresse à la fois et bien que Mary sois sa propre petite fille crois moi il sera beaucoup plus objectif que toi et moi réunis
Annie : je sais j’avais seulement besoin de te l’entendre dire encore une fois et il se peux que tu es encore à le dire une fois pendant le trajet vers l’aéroport
Eric : je te le dirais autant de fois que tu auras besoin de l’entendre. Je pense sincèrement que c’est la meilleure chose pour Mary et pour notre famille pour l’instant. Et je m’estime heureux que mes parents soit prêt à nous rendre ce service. Ma mère pense que ça peut être très bien pour eux, ils ont appris à se passe peu à peu de la présence de George, du fait que lui et son père s’entende très bien et le colonel et Rosie se sentent un peu inutile actuellement
Annie : ils se sentiront plus inutile longtemps
Mary : je vous attends dans la voiture
Annie : Mary ne partirait comme même pas sans dire au revoir à ses frères et sœurs, n’est ce pas chéri ?
Eric : ma chérie, ne soit pas étonné si elle monte dans l’avion sans même nous dire au revoir
Annie : mais c’est affreux
Eric : je ne trouve pas ça si affreux, sa me soulage de voir qu’on agis enfin et dans le bon sens Annie. Je suis absolument certains qu’on agis dans le bon sens
Annie : alors je suis avec toi
Eric : très bien
Annie : en route

Matt, Simon, Lucy et Ruthie observe Mary par la fenêtre
Matt : Quelle tête de pioche j’en reviens pas elle nous a même pas dis au revoir
(Eric arrive)
Eric : on sera rentrer dans une heure
Annie : Ruthie va te coucher s’il te plait, je viendrais t’embrasser quand je rentrerais de l’aéroport
Simon : bonne chance
Lucy : oui bonne chance
Matt : je vous attends je m’en irais après
Eric : oué
(Eric et Annie partent)
Matt : une sacrée tête de pioche
Lucy : c’est vraiment bizarre, c’est comme si il y avait un immense vide dans la maison avant même qu’elle soit partie
Simon : elle à peut être dis au revoir à personne mais elle est plus là
Matt : difficile à croire
Lucy : c’est triste
Simon : oué très triste
Ruthie : qui veut du gâteau ?

Mary, Eric et Annie sont à l’aéroport
Mary : vous avez raison. Je n’ai aucune idée de ce que je dois faire pour sortir du pétrin. J’ai pourtant fais des prières, pour pouvoir trouver le moyen de m’en sortir. Croyais moi si c’est ça la réponse à ma prière, c’est terminé, je prierais plus jamais pour quoi que ce soit
Dernier appel pour le vol 13.26 à destination de Buffalo. Embarquement immédiat porte 10
Annie : m’en veut pas à ton père, c’est une décision que nous avons prise tout les deux
Mary : ben voyons, je sais bien que c’est son idée
(Mary part)
Annie : je t’aime tant, rappelle toi ce que tu as dis, il vaux mieux avoir un enfant fâché qu’un enfant mort, c’était la meilleure chose à faire et tu le sais bien tout au fond de ton cœur. C’est vraiment la meilleure décision
(Eric et Annie pleurent)
 

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